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La cité de la peur
La Cité de la Peur est un film français sorti en 1994, réalisé par Alain Berbérian et écrit par Alain Chabat, Bruno Carette et Dominique Farrugia. Ce long-métrage est une comédie parodique qui s’inspire des films d’horreur et des thrillers. Il met en scène un groupe de personnages loufoques qui se retrouvent impliqués dans une série de meurtres survenant lors du Festival de Cannes.
Le film est connu pour avoir été initialement mal accueilli lors de sa sortie en salles, mais il a depuis acquis un statut culte auprès des fans de comédies françaises. Il est considéré comme l’un des meilleurs films de la troupe des Nuls, un groupe de comédiens français dont font partie Alain Chabat, Bruno Carette, Chantal Lauby, Dominique Farrugia et Gérard Darmon.
L’intrigue du film suit Odile Deray (Chantal Lauby), une attachée de presse maladroite qui doit accompagner le célèbre acteur américain John (Dominique Farrugia) sur la Croisette pendant le Festival de Cannes. Mais dès leur arrivée, une série de meurtres mystérieux s’abat sur le festival, semant la panique parmi les festivaliers. Les trois personnages principaux, Odile, John et Serge Karamazov (Alain Chabat), un détective privé incompétent, se retrouvent alors plongés dans une enquête qui les mènera jusqu’au tueur.
Le film est bourré de références à la culture populaire des années 90, de la musique (notamment la chanson “Le Blues du businessman” de Claude Dubois) aux films d’horreur (notamment le film Psychose d’Alfred Hitchcock). Les personnages sont tous plus excentriques les uns que les autres, et leur humour absurde et décalé est une des marques de fabrique du groupe des Nuls.
La Cité de la Peur est également connue pour ses nombreuses répliques cultes, telles que “Je suis venu, j’ai vu, j’ai déduit”, prononcée par Serge Karamazov, ou encore “Levez la tête, vous verrez les étoiles” par la célèbre phrase de John. Le film est une satire de l’industrie cinématographique et de ses clichés, tout en offrant une vision déjantée du Festival de Cannes.
En conclusion, La Cité de la Peur est un film culte de la comédie française. Avec son humour décalé et absurde, ses personnages hauts en couleur et ses nombreuses références à la culture populaire, il a réussi à se forger une place à part dans le cœur des fans de cinéma. Si vous ne l’avez pas encore vu, il est grand temps de vous plonger dans l’univers loufoque de la Cité de la Peur !
bttf
L’incroyable aventure de la création de Retour vers le futur 🚀
bttf
Retour vers le futur : L’incroyable histoire derrière le film culte 🎬✨
Retour vers le futur : L’incroyable histoire derrière le film culte 🎬✨
Une histoire plus dingue que le film lui-même 🤯
Certains films nous marquent par leur innocence et leur bonne humeur, devenant des classiques intemporels que l’on regarde encore et encore avec le même plaisir. Parmi ces films, Retour vers le futur est sans aucun doute l’un des plus populaires. Pourtant, derrière ce chef-d’œuvre du cinéma se cache une histoire de production presque aussi folle que celle racontée à l’écran. Ce film culte, apprécié pour son humour et son intelligence, a pourtant connu des débuts difficiles et une série d’événements inattendus avant de voir le jour.
La genèse d’un rêve 🎞️
Pour comprendre comment Retour vers le futur a vu le jour, il faut remonter le temps (comme Marty !) jusqu’en 1973, à l’Université de Californie du Sud. C’est là que deux étudiants passionnés de cinéma, Bob Gale et Robert Zemeckis, surnommés affectueusement “Bob et Bob”, se rencontrent. Dès leurs débuts, les deux compères rêvent de réaliser un film sur le voyage dans le temps. Mais ils manquent d’une idée forte… jusqu’à ce que Gale, en visitant ses parents, découvre que son père avait été délégué de classe au lycée. 💡 Et si un jeune homme voyageait dans le passé et rencontrait ses parents à l’école ? C’est ainsi que l’idée du film est née.
L’écriture du scénario : une aventure en elle-même 🖋️
Bob et Bob se lancent alors dans l’écriture du scénario, mais c’est loin d’être un long fleuve tranquille. Ils utilisent une technique d’écriture appelée “l’index card method” (technique des fiches), qui consiste à écrire des idées clés sur des fiches et à les organiser pour structurer l’histoire. Cela leur permet de construire le film scène par scène, en s’assurant que chaque détail a une place précise dans l’intrigue.
Exemple emblématique : au début du film, Marty et Doc se retrouvent sur le parking du centre commercial des deux pins. Plus tard, après que Marty a écrasé un arbre en s’enfuyant avec la DeLorean dans le passé, le centre s’appelle “le pain solitaire”. Ce souci du détail est un excellent exemple de ce que l’on appelle le fusil de Tchekhov, une technique qui veut que tout élément introduit dans une histoire ait une utilité par la suite.
Le parcours du combattant pour trouver un studio 🎬
Malgré un scénario solide, les deux compères se heurtent à un mur : aucun studio ne veut financer leur film. Columbia Pictures, qui avait initialement donné son feu vert, se retire finalement. S’ensuit alors une longue série de refus, de plus de 40 studios différents ! Les raisons invoquées sont variées : certains trouvent l’idée du voyage dans le temps démodée, d’autres estiment que le film n’est pas assez audacieux ou qu’il manque de scènes d’action “adultes”.
Mais Bob et Bob ne se découragent pas. Après chaque refus, ils retravaillent leur scénario, convaincus de tenir entre leurs mains une pépite. Pourtant, l’incertitude plane et le doute s’installe : et si le film n’était tout simplement pas bon ? Heureusement, leur ami Steven Spielberg, qui croyait fermement au projet depuis le début, leur redonne espoir.
Le coup de pouce du destin : à la poursuite du diamant vert 💎
Le vent tourne enfin pour Robert Zemeckis en 1984 avec le succès du film À la poursuite du diamant vert. Ce succès au box-office lui ouvre de nouvelles portes, et soudainement, les studios qui avaient refusé Retour vers le futur commencent à changer d’avis. Cependant, fidèle à Spielberg qui l’avait soutenu dès le début, Zemeckis choisit finalement de signer avec Universal Studios et Amblin Entertainment pour la production du film.
Les premiers défis de la pré-production 🚗⚡
Même après avoir trouvé un studio, les obstacles ne manquent pas. Le titre du film, par exemple, fait l’objet de débats houleux. Un des dirigeants d’Universal suggère même de le renommer “L’astronaute de Pluton”, une idée qui est heureusement vite abandonnée. Et ce n’est que le début des nombreux ajustements et compromis que Bob et Bob devront faire pour que leur vision prenne vie à l’écran.
Leçon de persévérance : un film intemporel 🌟
L’histoire de la production de Retour vers le futur est une véritable leçon de persévérance. Ce film, devenu un classique du cinéma, aurait pu ne jamais voir le jour sans la détermination et la passion de ses créateurs. Aujourd’hui, il continue d’inspirer des générations de spectateurs avec ses thèmes intemporels, son humour et son intelligence narrative.
À retenir :
- Même les plus grands succès peuvent connaître des débuts difficiles.
- La technique des fiches est un excellent outil pour structurer un scénario.
- Chaque détail compte dans la construction d’une histoire ; rien n’est laissé au hasard.
Et vous, quel est votre film culte qui vous inspire le plus ? 🎥✨
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Décès de Geneviève Grad, inoubliable fille du Gendarme de Saint-Tropez : retour sur une carrière emblématique
Geneviève Grad, connue pour avoir incarné la fille de Louis de Funès dans la saga culte du “Gendarme de Saint-Tropez”, est décédée dans la nuit du 7 au 8 novembre 2024. Retour sur la vie et la carrière de cette actrice qui a marqué plusieurs générations.
L’annonce de son décès
L’actrice Geneviève Grad est décédée à l’âge de 80 ans, comme l’a annoncé son mari Jean Guillaume à l’Agence France-Presse (AFP). Elle s’est éteinte à la polyclinique de Blois après un combat courageux contre le cancer.
Geneviève Grad restera dans les mémoires pour son rôle emblématique de Nicole Cruchot, la fille de Ludovic Cruchot, personnage joué par Louis de Funès. Sa performance et la chanson “Douliou Saint-Tropez”, interprétée dans le film, ont laissé une empreinte indélébile sur le cinéma français.
De la danse au cinéma : une carrière marquée par la chance
Geneviève Grad était née à Paris en juillet 1944, et elle se destinait initialement à une carrière de danseuse. Cependant, une rencontre fortuite avec des producteurs de cinéma à l’âge de 15 ans a changé le cours de sa vie. Cette opportunité lui a permis d’être remarquée par Michel Boisrond, qui lui a confié un rôle dans le film Un soir sur la plage sorti en 1961.
À partir de là, Geneviève Grad a enchaîné les rôles dans des séries télévisées et des téléfilms. Mais c’est bien sa participation à la saga du Gendarme de Saint-Tropez qui l’a propulsée au rang de vedette.
Nicole Cruchot : un rôle inoubliable
Geneviève Grad est surtout connue pour avoir incarné Nicole Cruchot, la fille du maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot, joué par le légendaire Louis de Funès. Elle apparaît notamment dans :
- Le Gendarme de Saint-Tropez (1964)
- Le Gendarme à New York (1965)
- Le Gendarme se marie (1968)
Son rôle de Nicole Cruchot a marqué toute une génération, non seulement pour son talent mais aussi pour l’énergie et la joie de vivre qu’elle apportait à l’écran.
Une carrière riche mais discrète
En plus de la saga du gendarme, Geneviève Grad a joué dans de nombreux autres films, notamment :
- Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit
- Arsène Lupin contre Arsène Lupin d’Édouard Molinaro
- OSS 117 prend des vacances de Pierre Kalfon
- Voulez-vous un bébé Nobel ? de Robert Pouret
Bien qu’elle ait joué dans des productions de renom, l’actrice a choisi de quitter le monde du cinéma à la fin des années 1980. Elle a ensuite travaillé en tant qu’assistante de production pour la chaîne TF1, restant dans le monde de l’audiovisuel mais loin des projecteurs.
Une vie personnelle marquée par l’amour
Côté vie privée, Geneviève Grad a eu une relation avec Igor Bogdanov dans les années 1970, de laquelle est né leur fils Dimitri en 1976. En 1993, elle a épousé Jean Guillaume, avec qui elle partageait sa vie depuis 11 ans.
Un héritage qui perdure
Geneviève Grad a laissé une marque indélébile sur le cinéma français, en particulier grâce à son rôle dans la saga du gendarme. Sa joie de vivre communicative, son talent et sa présence à l’écran ont fait d’elle une figure aimée et admirée.
Son décès laisse un grand vide, mais ses films continueront à faire rire et émerveiller les spectateurs, perpétuant ainsi l’éclat de cette grande actrice. Geneviève Grad restera toujours l’inoubliable Nicole Cruchot, la fille du gendarme le plus célèbre de France.
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Michel Blanc, l’inoubliable Jean-Claude Dusse, nous a quittés
Ce vendredi 4 octobre 2024, le cinéma français est en deuil. Michel Blanc, acteur emblématique et réalisateur talentueux, s’est éteint à l’âge de 72 ans. Il laisse derrière lui une œuvre riche et des personnages inoubliables, dont le célèbre Jean-Claude Dusse de la trilogie “Les Bronzés”.
Né le 16 avril 1952 à Courbevoie, Michel Blanc s’est fait connaître dans les années 1970 avec la troupe du Splendid. Avec ses partenaires Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Christian Clavier, Gérard Jugnot et Marie-Anne Chazel, ils ont marqué le café-théâtre avant de connaître un succès retentissant au cinéma. Blanc incarnait souvent des personnages maladroits et attachants, et c’est avec Jean-Claude Dusse, dans “Les Bronzés” (1978), qu’il a atteint une popularité immense. Ce personnage est devenu culte, symbolisant l’archétype du séducteur maladroit en quête désespérée d’amour et de vacances parfaites.
Michel Blanc ne s’est pas limité à la comédie. En 1984, il passe à la réalisation avec “Marche à l’ombre”, qui rencontre un grand succès auprès du public et de la critique, affirmant ainsi son talent derrière la caméra. Sa carrière est marquée par plusieurs distinctions, dont le Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes en 1986 pour “Tenue de soirée” et le César du meilleur acteur dans un second rôle pour “L’Exercice de l’État” en 2012.
Michel Blanc était un artiste aux multiples facettes, capable de faire rire autant que de toucher par des rôles plus introspectifs. Son passage de la comédie à des œuvres plus dramatiques témoigne de sa grande versatilité et de son amour sincère pour le cinéma sous toutes ses formes.
Son décès, survenu dans la nuit du 3 au 4 octobre à la suite d’un malaise cardiaque, laisse un vide immense. Il était bien plus qu’un acteur et réalisateur : il était également scénariste et dialoguiste. Ses œuvres continueront de vivre et de faire rire, réfléchir et émouvoir les générations futures.
Michel Blanc demeurera dans les mémoires comme un artiste complet, un homme de scène et d’écran dont le talent et la sensibilité ont durablement marqué la culture française.
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Le documentaire d’Inoxtag sur l’ascension de l’Everest sortira au cinéma
Le youtubeur français Inoxtag, de son vrai nom Inès Benazzouz, a récemment annoncé une nouvelle qui a fait vibrer ses millions d’abonnés : un documentaire retraçant son ascension du mont Everest sera projeté au cinéma. Intitulé “Kaizen“, ce film documentaire d’une durée de 2h40 minutes est prévu pour une sortie unique dans les salles de France, Suisse, Belgique, et dans les DOM-TOM le 13 septembre 2024.
Inoxtag, qui compte près de 8 millions d’abonnés sur YouTube, avait lancé ce défi fou il y a plus d’un an : gravir le plus haut sommet du monde avec une préparation d’un an seulement. Son aventure, marquée par des moments de doute, de fatigue, et de lutte contre les éléments, a été capturée dans ce documentaire.
La bande-annonce dévoilée par Inoxtag montre des images époustouflantes de l’Himalaya, mais aussi des moments de vulnérabilité du youtubeur, laissant les spectateurs dans l’expectative quant à l’issue de cette expédition.
Après sa projection en salles, “Kaizen” sera disponible sur la chaîne YouTube d’Inoxtag le 14 septembre à 14h30. Cette stratégie de sortie hybride permet à Inoxtag de toucher à la fois un public désireux d’une expérience cinématographique et ses abonnés fidèles qui suivent ses aventures depuis le confort de leurs foyers.
Les réseaux sociaux ont été inondés de félicitations et d’excitations suite à cette annonce. Des personnalités du monde du web comme Michou ou Juju Fitcats ont déjà félicité Inoxtag pour son retour et l’annonce de ce projet. La communauté semble unanime sur l’impatience de découvrir comment Inoxtag a vécu cette expérience, réussie ou non, soulignant que le voyage en lui-même est une victoire.
Pour ceux intéressés par la séance unique au cinéma, la billetterie ouvrira le mardi 3 septembre à 17h30 sur le site dédié inoxtag-everest.com.
Le documentaire “Kaizen” d’Inoxtag représente non seulement un exploit personnel mais aussi une nouvelle étape dans la carrière de ce créateur de contenu, qui utilise son influence pour partager des expériences extrêmes et inspirantes. Cette sortie cinématographique suivie d’une diffusion en ligne illustre également l’évolution des contenus numériques vers des formats plus traditionnels, tout en gardant une base solide sur les plateformes en ligne.