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Neuer jusqu’en 2023

Manuel Neuer, 34 ans, a prolongé son contrat avec le FC Bayern Munich jusqu’au 30 juin 2023.

« Le FC Bayern est très heureux que Manuel ait prolongé son contrat jusqu’au 30 juin 2023 », a expliqué le PDG Karl-Heinz Rummenigge.

« Il est le meilleur gardien de but au monde et notre capitaine. »

La suite … http://fcbayern-fr.com/off-neuer-jusquen-2023/

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Le Bayern reste à la poursuite de Leverkusen

Les Munichois, actuellement deuxièmes, ont maintenu leur position après leur victoire mercredi contre l’Union Berlin, restant à quatre points de distance du Bayern.

Suite à leur défaite inattendue contre le Werder Brême (1-0) trois jours auparavant, le Bayern Munich a réussi à obtenir une victoire essentielle à domicile, en battant l’Union Berlin par 1 à 0, réduisant ainsi l’écart avec le Bayer Leverkusen, leader de la Bundesliga.

Avec cette victoire, les Munichois comptent 44 points, restant à quatre points derrière le Bayer Leverkusen, qui mène la Bundesliga avec 48 points après la 18e journée, restant invaincu avec 15 victoires et 3 matchs nuls.

Le Bayern Munich, après avoir subi trois défaites cette saison contre Leipzig en Supercoupe (3-0), face à Sarrebruck (division 3) en seizièmes de finale de la Coupe (1-0) et contre Francfort en championnat (5-1), a démontré une fière réaction en Bundesliga, enregistrant des victoires impressionnantes de 4-0 contre Brême et Dortmund, et de 3-0 face à Stuttgart.

L’équipe dirigée par Thomas Tuchel a pris l’avantage grâce à un but de Raphaël Guerreiro à la 46e minute, mais a dû lutter jusqu’à la fin du match.

L’entraîneur de l’Union expulsé

Mercredi, contre une équipe de l’Union Berlin mal placée au classement (14 points, 15e) et adoptant une stratégie défensive, le Bayern n’a réalisé que le minimum nécessaire, notamment après une première mi-temps laborieuse.

La rencontre s’est conclue sur une confrontation entre Nenad Bjelica et Leroy Sané, entraîneur de l’Union Berlin, qui a reçu un carton rouge, tandis que l’attaquant du Bayern a été averti par un carton jaune.

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Le Bayern subit une défaite et se retrouve distancé par Leverkusen

À domicile, le Bayern Munich a subi une défaite contre le Werder Brême (0-1), laissant le Bayer Leverkusen renforcer sa position de leader au classement.

Le Bayern Munich a concédé sa deuxième défaite de la saison en Bundesliga, et pour la première fois à l’Allianz Arena, face au Werder Brême (1-0) dimanche après-midi. Cette défaite les éloigne du premier du classement, le Bayer Leverkusen.

L’équipe dirigée par Thomas Tuchel, totalisant 41 points, se trouve à sept points derrière le Bayer Leverkusen, qui en a 48. Ils ont encore un match en retard de la 13e journée à jouer ce mercredi soir à domicile contre l’Union Berlin.

Subissant une défaite en août en Supercoupe d’Allemagne contre le RB Leipzig (3-0), éliminés par Sarrebruck en 16es de finale de la Coupe d’Allemagne, et battus à Francfort lors de la 14e journée, le Bayern subit sa quatrième défaite de la saison. Pendant ce temps, le Bayer Leverkusen reste invaincu après 27 matchs dans toutes les compétitions (15 victoires et 3 nuls en Bundesliga, 6 victoires en Europa League, et 3 en Coupe).

Dans leur match contre le Werder Brême, les joueurs bavarois ont concédé un superbe but de Weiser à la 59e minute et n’ont pas réussi à se ressaisir.

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Hommage solennel au “Kaiser” Franz Beckenbauer à l’Allianz Arena

Ce vendredi après-midi, une foule immense de Munichois est attendue à l’Allianz Arena pour saluer une dernière fois Franz Beckenbauer, icône du football allemand surnommé le “Kaiser”, décédé le 7 janvier à l’âge de 78 ans.

L’annonce du décès de Franz Beckenbauer a ému profondément il y a dix jours, et le Bayern Munich a choisi l’Allianz Arena pour lui rendre un ultime hommage, stade emblématique dont la construction fut fortement influencée par Beckenbauer.

À l’époque où Beckenbauer présidait le Bayern, dans les années 1990 et au début des années 2000, il fut un acteur clé du déménagement du club de l’Olympiastadion de Munich vers l’Allianz Arena, un stade moderne pouvant accueillir 75 000 spectateurs, situé au nord de Munich.
Le chancelier allemand Olaf Scholz (social-démocrate), ainsi que le président Frank-Walter Steinmeier et Markus Söder, président de la région (conservateur), seront présents dans les tribunes.

Le président du Bayern, Herbert Hainer, ouvrira la cérémonie avec un discours à 15h, suivi d’interventions de Frank-Walter Steinmeier et Markus Söder.

Uli Hoeness, président d’honneur du Bayern, qui a joué aux côtés de Beckenbauer dans les années 1960 et 1970 et a occupé des postes de direction avec Beckenbauer et Karl-Heinz Rummenigge, prendra également la parole.

La cérémonie, qui durera un peu plus d’une heure, commencera par l’interprétation de “Conte Partiro” par le ténor munichois Jonas Kaufmann.

Participation du Barça et du Real

Des figures telles que Paul Breitner, Günter Netzer, Wolfgang Overath et Rainer Bonhof, coéquipiers de Beckenbauer et Hoeness lors de leur victoire en Coupe du monde en 1974, seront présentes dans les tribunes, de même que les champions du monde de 1990 Lothar Matthäus, Andreas Brehme, Klaus Augenthaler, Pierre Littbarski, Guido Buchwald, Olaf Thon, Rudi Völler et Karlheinz Riedle, entraînés par le Kaiser.

Des anciens entraîneurs du Bayern tels que Hansi Flick, Julian Nagelsmann, Felix Magath ou Niko Kovac seront aussi de la partie, tout comme Charly Körbel, détenteur du record de matches joués en Bundesliga (602).

Au-delà des frontières allemandes, le Real Madrid sera représenté par son président d’honneur Pirri et la légende des Merengue Emilio Butragueno, tandis que le FC Barcelone enverra son président Joan Laporta et son vice-président Rafael Yuste.

D’autres anciennes stars internationales du Bayern, comme les défenseurs français Bixente Lizarazu ou Willy Sagnol, le gardien belge Jean-Marie Pfaff et le défenseur belge Marc van Bommel, ont également confirmé leur présence.

Franz Beckenbauer, légende du football allemand pendant près d’un demi-siècle, a remporté trois fois la Coupe d’Europe des clubs champions (1974, 1975, 1976), deux fois le Ballon d’or (1972, 1976), et a été champion d’Europe (1972) et champion du monde (1974) avec l’Allemagne. En tant que sélectionneur, il a mené l’équipe à la victoire en Coupe du monde en 1990 avant de se lancer dans une carrière de dirigeant au Bayern et de jouer un rôle déterminant dans l’organisation du Mondial 2006 en Allemagne.

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Franz Beckenbauer, surnommé le “Kaiser” du football allemand, s’éteint à l’âge de 78 ans

Franz Beckenbauer, surnommé “le Kaiser”, vient de nous quitter à l’âge de 78 ans, après une longue maladie. Reconnu comme l’un des défenseurs allemands les plus élégants de l’histoire du football, il laisse derrière lui l’image d’un homme et d’un joueur habitué à la victoire. Son parcours n’a pas toujours été couronné de succès, mais son aura de gagnant persiste.

Dans son maillot rouge éclatant de la Tchécoslovaquie, Beckenbauer était d’une beauté saisissante. Avec sa posture noble, son charisme et son allure aristocratique, même dans la défaite, il impressionnait. Le 20 juin 1976, lors de la finale du championnat d’Europe, malgré la défaite de la RFA face à l’inspiration géniale d’Antonin Panenka, Beckenbauer, d’ordinaire habitué à soulever des trophées, semblait presque invincible. Ce soir-là à Belgrade, alors qu’il célébrait sa centième sélection, une victoire à l’Euro 1976 aurait dû couronner un palmarès déjà exceptionnel : champion d’Europe en 1972, champion du monde en 1974 avec la Mannschaft, et triple vainqueur de la Coupe d’Europe des clubs champions avec le Bayern Munich. En 1976, à 31 ans, il remporta son second Ballon d’Or, ainsi que la première Coupe intercontinentale avec le Bayern.

Franz Beckenbauer, maître incontesté de la victoire, a marqué de son empreinte le football allemand et mondial. En tant que sélectionneur de l’Allemagne réunifiée, il remporte le championnat du monde en 1990 et, en tant qu’entraîneur du Bayern Munich, il gagne le championnat d’Allemagne en 1994 et la Coupe UEFA en 1996. Il a également joué un rôle clé dans l’organisation de la Coupe du monde 2006 en Allemagne. Avec Mario Zagallo et Didier Deschamps, il fait partie des rares à avoir remporté la Coupe du monde en tant que joueur et sélectionneur.

De la décennie 1970 à nos jours, Beckenbauer a influencé de nombreux successeurs. Boris Becker, célèbre tennisman, l’a loué pour sa mentalité de vainqueur et son rôle dans la victoire de la Coupe du monde 1974. Des générations de sportifs allemands, de Becker à Graf, Schumacher, Nowitzki, et les équipes victorieuses du Bayern Munich et de la Mannschaft, ont tous été inspirés par la légende de Franz Beckenbauer.

Chez Beckenbauer, la volonté de gagner ne relevait pas d’une obsession, mais plutôt d’une quête de rédemption pour une nation autrefois défaite. Né le 11 septembre 1945 à Giesing, un quartier populaire de Munich, Franz était un enfant marqué par la défaite du Troisième Reich, dans laquelle son père, un soldat humilié, avait été impliqué. Pour le jeune Franz, grandir dans une Allemagne à genoux, c’était comme si son pays était mené au score. Dans les ruines de Giesing, il jouait au football avec passion, malgré les pénuries et les menaces de son père de l’envoyer à l’école pieds nus. Le Miracle de Berne, la victoire de la RFA en Coupe du monde le 4 juillet 1954 contre la Hongrie, a été une révélation pour lui, redonnant fierté et estime de soi à tout un pays.

Dès lors, rien n’arrêterait Franz Beckenbauer, qui a fait de Fritz Walter, capitaine de la Mannschaft en 1954, son héros. À 9 ans, il s’inscrit au SC 1906 Munich et rêve de rejoindre le TSV Munich 1860. Mais en 1958, après un incident lors d’un tournoi de jeunes, il rejoint à 14 ans en 1959 le Bayern Munich, un club alors moins prestigieux. Trois ans plus tard, il quitte son emploi de vendeur d’assurances pour devenir footballeur professionnel. Son choix reflète le caractère d’un adolescent rebelle : à son père fonctionnaire qui déteste le football, au travail salarié, et aux conventions sociales, puisqu’à 18 ans, il refuse d’épouser sa petite amie enceinte. Séducteur aux yeux bleus perçants, Franz connaît de nombreux succès amoureux et se marie trois fois.

Profession : libéro ! En 1964-1965, ses 18 buts propulsent le Bayern Munich de la Regionalliga Süd à la Bundesliga. La saison suivante, il participe à la victoire en Coupe d’Allemagne et est sélectionné pour le Mondial anglais de 1966, malgré un bannissement temporaire de l’équipe Espoirs. En Angleterre, il se distingue en marquant contre l’URSS en demi-finales. En finale, la RFA s’incline contre l’Angleterre, mais Franz reconnaît plus tard la supériorité de Bobby Charlton. Bobby, impressionné par Beckenbauer, le considère rapidement comme un grand rival.

Le nom de Beckenbauer est désormais sur toutes les lèvres. Sous son leadership, le Bayern Munich enchaîne les succès : Coupe d’Allemagne et Coupe des Coupes en 1967, et son premier titre de champion d’Allemagne en 1969, année où il devient capitaine. Entre-temps, il se repositionne en défenseur central, une idée de l’entraîneur yougoslave Zlatko Čajkovski, qui avait remarqué que Beckenbauer manquait de résistance physique pour un milieu de terrain. Inspiré par Giacinto Facchetti, le latéral gauche de l’Inter Milan, Beckenbauer se sent libéré en tant que défenseur central, où il peut se déplacer librement. Il révolutionne le rôle de libéro, le rendant plus offensif que les traditionnels “verrouilleurs” italiens, en choisissant le moment parfait pour avancer sur le terrain.

Avec son style unique, salué par la Gazzetta dello Sport comme “Vivere a testa alta” (vivre la tête haute), grâce à sa stature (1,81m), sa posture noble et sa vision du jeu, ses passes précises deviennent sa signature. Beckenbauer, surnommé “der Kaiser” depuis 1968 pour sa classe aristocratique, devient le leader du “gang des Bavarois” en club et en équipe nationale, avec des joueurs comme Sepp Maier, Karl-Heinz Schwarzenbeck, Paul Breitner, Franz Roth, Uli Hoeness et Gerd Müller.

Beckenbauer, “l’empereur” du football, a vu son surnom se renforcer après s’être fait photographier près d’un buste de l’empereur François-Joseph Ier lors d’un match à Vienne, ou comme rival de Reinhard Libuda de Schalke 04, surnommé “König von Westphalen”. Son règne culmine lors de la Coupe du monde 1974 en Allemagne, où, après un premier tour difficile, il mène la Mannschaft à la victoire, notamment contre les Pays-Bas de Johan Cruyff. Beckenbauer résume cette victoire en affirmant qu’ils étaient convaincus de gagner, avec un esprit conquérant et un brin de chance.

Après plusieurs succès avec le Bayern Munich, la saison 1976-1977 marque le déclin de Beckenbauer, affaibli par les blessures. Il révèle plus tard dans le magazine Stern avoir eu recours au dopage par injections de son propre sang et de “vitamines”. En 1977, il rejoint le New York Cosmos, cherchant à réaliser son rêve américain. Là, il devient une figure emblématique, fréquentant le célèbre Studio 54 avec ses coéquipiers Pelé, Chinaglia et Carlos Alberto. Beckenbauer incarne l’attitude cool américaine, aidant à promouvoir la Coupe du monde 2006 en Allemagne.

En 1980, Günter Netzer le ramène au Hambourg SV, mais à 35 ans, Beckenbauer ne parvient pas à s’imposer dans une Bundesliga plus rapide et souffre de blessures fréquentes. Il se retire après un dernier titre de champion d’Allemagne en 1982 et un bref retour au New York Cosmos en 1983. En tant que sélectionneur de l’Allemagne, il mène l’équipe à la finale de la Coupe du monde 1986, à la demi-finale de l’Euro 1988, et à la victoire en Coupe du monde 1990. Après un court passage à l’OM sous Bernard Tapie, il devient dirigeant, président du Bayern Munich de 1994 à 2009, et membre du comité exécutif de la FIFA de 2007 à 2011.

Cependant, sa vie bascule en 2014 avec des accusations de corruption liées aux Coupes du monde 2018, 2022 et 2006. Il traverse aussi des épreuves personnelles, dont la perte de son fils en 2015 et des problèmes de santé. Malgré ces difficultés, il reste une figure emblématique du football allemand, célébré par Günter Netzer comme le “héros de notre nation”. Après la disparition de Gerd Müller en 2021, Beckenbauer quitte à son tour le cercle des légendes du Bayern Munich, laissant derrière lui ses coéquipiers endeuillés.

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Ligue des champions : égalité sans buts entre le Bayern Munich et Copenhague (0-0)

Lors d’un match de la Ligue des Champions tenu à l’Allianz Arena, le Bayern Munich, sous la direction de Thomas Tuchel, a été contraint à un match nul 0-0 contre Copenhague. Les Bavarois, déjà assurés de finir premiers du groupe A, n’ont pas montré leur habituelle intensité offensive, ce qui a permis à Copenhague d’adopter une approche défensive et de repartir avec un point précieux.

Le Bayern Munich, bien que dominant en termes de possession et de contrôle du jeu, a trouvé un adversaire résistant dans Copenhague. L’équipe danoise, clairement venu avec l’intention de sécuriser un match nul, a joué une défense basse, limitant ainsi les opportunités pour les attaquants du Bayern. Des joueurs comme Mathys Tel, Kingsley Coman, Thomas Muller et Harry Kane, généralement influents, n’ont pas réussi à percer la défense solide de Copenhague. Les remplaçants Leroy Sané et Serge Gnabry, connus pour leur capacité à dynamiser l’offensive, n’ont également pas pu changer la donne.

Le match a eu quelques moments notables, tels qu’une excellente intervention de Kamil Grabara qui a arrêté une tête de Thomas Muller à la 30e minute. En outre, Manuel Neuer a brillé en fin de match avec un triple arrêt spectaculaire, démontrant pourquoi il est considéré comme l’un des meilleurs gardiens du monde. Un moment de haute tension s’est produit dans les dernières minutes lorsque le Bayern s’est vu accorder un penalty, qui a finalement été annulé après consultation de la VAR.

Ce résultat laisse le Bayern Munich confortablement en tête de son groupe, mais sans la satisfaction d’une victoire à domicile. Pour Copenhague, ce point représente un espoir pour la qualification dans un groupe difficile. Leur dernière rencontre de groupe sera cruciale pour déterminer leur sort dans la compétition. Pour le Bayern, un prochain match contre Manchester United, qui espère également se qualifier, pourrait se révéler être une simple formalité compte tenu de leur position actuelle.

Le film du match sur Eurosport FC 

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