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Le retour de Sergey Brin chez Google, motivé par l’IA

Dans le monde effervescent de la technologie, où l’innovation est la monnaie courante, le retour d’une figure emblématique comme Sergey Brin, co-fondateur de Google, ne peut passer inaperçu.

En effet, selon des posts récents sur X, Sergey Brin a révélé travailler à nouveau chez Google “presque tous les jours”, une décision motivée par l’intérêt croissant pour les avancées en intelligence artificielle (IA).

Sergey Brin, bien que retiré de la direction opérationnelle d’Alphabet et de Google depuis 2019, n’a jamais vraiment coupé les ponts avec l’entreprise qu’il a co-fondée. Son retour au premier plan est marqué par un engagement renouvelé dans le développement de technologies d’IA, notamment avec le projet Gemini, conçu pour rivaliser avec des initiatives comme ChatGPT d’OpenAI. Ce projet, sous la direction de Demis Hassabis de Google DeepMind, représente l’ambition de Google de rester à la pointe de l’innovation en IA.

Le retour de Brin n’est pas seulement symbolique; il a des implications concrètes sur la stratégie de Google. Son directe dans des aspects techniques et administratifs, comme le recrutement de chercheurs et la supervision de projets de recherche, souligne l’importance que Google accorde à l’IA. Cette dynamique reflète une volonté de ne pas seulement suivre, mais de mener la course à l’IA, un domaine où la concurrence est féroce et les enjeux, énormes.

Les raisons de son retour sont multiples mais convergent vers un intérêt commun : l’IA. Brin, avec sa vision pionnière, semble vouloir s’assurer que Google ne perde pas de terrain dans cette course technologique. Son retour peut être vu comme un signal fort aux concurrents et au monde de la tech : Google, sous l’impulsion de ses créateurs, continue de viser l’innovation à la pointe de l’IA.

Les réactions dans la communauté tech sont partagées. D’un côté, l’enthousiasme pour voir un des esprits créatifs de Google revenir au front pour une nouvelle aventure technologique. De l’autre, des questions sur les implications de cette focalisation sur l’IA, notamment en termes de vie privée et d’éthique technologique, sujets sensibles dans le contexte actuel.

Le retour de Sergey Brin chez Google, axé sur l’IA, marque bien plus qu’un retour aux sources ; c’est une déclaration ambitieuse pour l’avenir de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle. Alors que le monde observe, Brin et Google semblent préparer le terrain pour des innovations susceptibles de redéfinir les frontières de ce que nous croyons possible avec l’IA.

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Avec Google,Zurich a changé de monde et d’époque

Zurich est connue pour être la capitale financière de la Suisse. Mais tout change depuis l’arrivée de Google et de ses 5000 employés.

Ils étaient deux, puis 100, puis 5000. En moins de vingt ans, les «Zooglers» se sont multipliés à une vitesse phénoménale. Les «Zooglers»? C’est la contraction de Google et de Zurich, inventée par le géant de la tech. Elle désigne ses milliers de collaborateurs et collaboratrices travaillant sur les bords de la Limmat. En juin dernier, la multinationale californienne célébrait un nouveau jalon de son histoire à Zurich en inaugurant un bureau sur l’Europaallee.

Le Campus Europaallee, ce sont six bâtiments de 50’000 m2 loués aux CFF. Google, qui aspire les ingénieurs de l’EPFL et de l’EPFZ, est le navire amiral d’une noria de sociétés spécialisées dans les nouvelles technologies. À tel point que leur nombre surpasse celles liées à la finance, le pôle historique de la métropole zurichoise.

La suite… https://www.24heures.ch/ledimanche.ch-375810950120

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