informatique
«La Suisse a abandonné sa souveraineté numérique», alerte Infomaniak
Dans un document mis en ligne lundi, la société genevoise critique avec véhémence la Confédération. Celle-ci avait choisi cinq sociétés étrangères pour son contrat à 110 millions de francs pour des services cloud
Infomaniak attaque avec virulence la décision de la Confédération de n’opter que pour des multinationales étrangères pour ses services cloud (informatique en nuage). Dans une longue prise de position mise en ligne lundi soir , la société genevoise spécialisée dans les services web, critique point à point la décision prise par Berne. «La Suisse a abandonné sa souveraineté numérique», y écrit Marc Oehler, directeur d’Infomaniak. Pour mémoire, la Confédération a alloué fin juin un contrat de 110 millions de francs à Oracle, IBM, Microsoft, Amazon et Alibaba.
Pour Marc Oehler, «l’heure est grave pour l’indépendance numérique de la Suisse». Pour lui, dès le départ, les dés étaient pipés. L’appel d’offres «n’exigeait même pas de présence en Suisse» et la Confédération a principalement justifié son choix par «les propositions de prix très attrayants». Comment la Confédération peut-elle naïvement croire à des économies alors qu’elle creuse sa dépendance en mettant de côté les entreprises locales?», lance le directeur d’Infomaniak.
La suite… https://www.letemps.ch/economie/suisse-abandonne-souverainete-numerique-alerte-infomaniak
histoire
Microsoft a 50 ans : un demi-siècle d’innovations, de paris fous et de révolutions
Microsoft a 50 ans : un demi-siècle d’innovations, de paris fous et de révolutions 💻🎉
Fondée en 1975 par deux jeunes visionnaires, Bill Gates et Paul Allen, Microsoft est aujourd’hui l’une des entreprises les plus puissantes de la planète 🌍. De ses débuts dans un garage à ses conquêtes dans l’intelligence artificielle, la firme de Redmond a connu une ascension fulgurante, marquée par des succès légendaires, mais aussi quelques échecs cuisants. À l’occasion de ses 50 ans, plongeons dans cette épopée technologique fascinante.
Les débuts d’un rêve : deux amis, un ordinateur et une idée géniale 👨💻✨
Tout commence en janvier 1975, quand le magazine Popular Electronics consacre sa une au micro-ordinateur Altair 8800. Ce petit bijou technologique destiné aux particuliers attire l’attention de deux amis de Seattle : Paul Allen (22 ans) et Bill Gates (19 ans).
🔹 Ils se lancent un pari fou : adapter le langage BASIC pour cette machine qu’ils n’ont même pas en main.
🔹 Trente jours plus tard, Allen présente l’Altair BASIC aux créateurs du 8800 : c’est un triomphe.
🔹 Pour chaque Altair vendu, ils toucheront 35 dollars.
🔹 Le 4 avril 1975, Microsoft est officiellement créée.
C’est le début d’une aventure hors normes… 🚀
Le duo gagnant : Allen le technicien, Gates le stratège 🧠📈
Dès les débuts, les rôles sont bien définis :
- Paul Allen est l’ingénieur, le cerveau technique du projet.
- Bill Gates, aussi programmeur, se distingue surtout comme négociateur et stratège.
- C’est lui qui, avec l’aide de son père avocat, rédige le contrat décisif avec IBM en 1980.
Ce contrat permet à Microsoft de fournir le système d’exploitation des futurs IBM PC, puis de tous les compatibles PC. Résultat : des revenus colossaux pour la jeune entreprise.
Windows : la révolution graphique 🪟🖱️
En 1984, Apple dévoile le Macintosh, qui introduit l’interface graphique et la souris. Microsoft comprend vite que l’ère des lignes de commande est révolue.
💡 En 1985, elle lance la première version de Windows.
💡 C’est le début d’un long règne : Windows deviendra le système d’exploitation le plus utilisé au monde.
💡 Microsoft en profite pour développer Excel (1985), Word et PowerPoint, d’abord sur Macintosh.
Ces trois logiciels formeront Microsoft Office, la suite bureautique la plus populaire de tous les temps 🖋️📊.
Encarta, Flight Simulator et l’entrée dans les foyers 🎮📚
Microsoft ne se limite pas aux professionnels. Grâce au CD-ROM, elle entre aussi dans les maisons :
- Encarta, une encyclopédie multimédia lancée dans les années 90, dépoussière l’Encyclopædia Britannica.
- En 1982, sort le premier Flight Simulator, toujours actif aujourd’hui.
- Age of Empires, sorti en 1997, séduit des millions de gamers et assoit la présence de Microsoft dans le jeu vidéo.
La Xbox : un pari gagnant dans l’univers du jeu 🎮🚀
Le 15 novembre 2001, Microsoft lance un nouveau défi : la Xbox, une console de jeux pour concurrencer Sony et Nintendo.
📦 Quelques chiffres marquants :
- 24 millions de Xbox (première génération) vendues.
- 84 millions de Xbox 360.
- 58 millions pour la Xbox One (et ses variantes One S et X).
- Environ 30 millions pour la Xbox Series X/S (2025).
Même si les chiffres restent en deçà de ceux de ses concurrents, Microsoft s’impose durablement dans l’industrie vidéoludique.
Les ratés : Zune, Tablet PC, Windows Phone… 💥📉
Mais tout n’est pas rose dans l’histoire de Microsoft. Plusieurs tentatives se sont soldées par des échecs spectaculaires :
😬 Zune (2006) :
- Réponse tardive à l’iPod.
- Échec commercial total malgré des fonctionnalités intéressantes.
- Abandonné en 2011.
📱 Tablet PC (2001) :
- Concept trop en avance, trop lourd, trop cher.
- L’interface n’est pas intuitive.
- L’iPad, sorti 9 ans plus tard, réussira là où Microsoft a échoué.
📵 Téléphonie mobile :
- Microsoft rate complètement le virage du smartphone.
- Le système Windows Mobile ne séduit pas.
- Le rachat de Nokia en 2013 se solde par un fiasco retentissant, avec 7.800 licenciements et une perte de 7,2 milliards de dollars.
- En 2016, Microsoft jette l’éponge.
Trois PDG, trois visions, une même ambition 👔🏢
En 50 ans, Microsoft n’a connu que trois véritables dirigeants :
👨🔬 Paul Allen
- Co-fondateur, il quitte Microsoft en 1983 après un cancer.
- Il restera un grand visionnaire.
- Décédé en 2018.
👨💼 Bill Gates
- À la tête de Microsoft de 1975 à 2000.
- Visionnaire stratégique, bâtisseur de l’empire.
- Il quitte la direction pour se consacrer à la Bill & Melinda Gates Foundation.
🎯 Steve Ballmer
- CEO de 2000 à 2014.
- Dynamique, mais parfois excessif.
- Il oriente Microsoft vers le cloud (Azure).
- Son échec majeur : la téléphonie mobile.
🚀 Satya Nadella (depuis 2014)
- Il modernise l’entreprise et ouvre une nouvelle ère d’innovation.
- Il rachète LinkedIn, Nuance, Activision Blizzard.
- Il investit dans l’intelligence artificielle, notamment OpenAI (ChatGPT).
L’ère de l’intelligence artificielle et du quantique 🤖🔬
Depuis 2020, Microsoft prend un virage technologique majeur en investissant dans :
- OpenAI, pionnier de l’intelligence artificielle (ChatGPT, Copilot).
- La reconnaissance vocale, avec Nuance.
- La recherche quantique, notamment autour de la puce Majorana.
🔮 Objectif ? Devenir leader de la prochaine révolution informatique, celle de l’informatique quantique. Un pari audacieux qui pourrait redéfinir toute l’industrie technologique.
Microsoft aujourd’hui : un empire aux multiples visages 🏰💡
En 2025, Microsoft c’est :
- Windows, toujours omniprésent.
- Microsoft 365, la version cloud de la suite Office.
- Teams, devenu incontournable dans les entreprises.
- LinkedIn, le réseau social professionnel n°1.
- Xbox, un acteur solide dans le gaming.
- Azure, l’un des leaders du cloud mondial.
- Copilot, un assistant IA intégré dans tous les outils bureautiques.
💰 Sa valorisation dépasse les 3 000 milliards de dollars, plaçant Microsoft parmi les géants absolus de l’économie mondiale.
Une histoire faite de hauts et de bas, mais toujours tournée vers l’avenir 🔁🌠
En 50 ans, Microsoft a prouvé qu’elle savait :
- Saisir les opportunités quand elles se présentent.
- Se réinventer après des échecs cuisants.
- Anticiper les grandes évolutions technologiques.
- Investir massivement dans l’avenir, avec l’IA, le cloud et le quantique.
📌 Une chose est sûre : Microsoft ne dort jamais. Elle continue de tracer la route de demain, tout en restant fidèle à l’esprit pionnier de ses deux jeunes fondateurs de 1975.
Conclusion : de BASIC à Copilot, une saga technologique inégalée 🚀🧬
Microsoft, c’est l’histoire d’un duo audacieux devenu empire planétaire. Une entreprise capable de façonner le quotidien de milliards de personnes, de transformer l’éducation, le travail, le divertissement, et maintenant même notre manière de penser grâce à l’intelligence artificielle.
🥂 Bon anniversaire, Microsoft ! Voici 50 ans de révolutions, de plantages, de mises à jour, de rêves, d’échecs et de réussites… Et l’aventure ne fait que commencer !
android
Passez en mode illimité : adoptez Flat Mobile Swiss, la révolution mobile à 13 CHF ! 📲🇨🇭
Digital Republic lance un abonnement mobile illimité 🚀🇨🇭
Digital Republic propose désormais un abonnement mobile illimité pour seulement 13 CHF. Cette offre, baptisée « Flat Mobile Swiss », est présentée comme la plus avantageuse pour une utilisation en Suisse.
Le nouveau flat mobile swiss 📱
- Lancement récent : Disponible depuis cette semaine.
- Tarif attractif : Seulement 13 CHF.
- Inclus : Appels, SMS et données illimités avec une vitesse de 30 Mbit/s en Suisse.
L’ancien flat mobile offre plus de performances ⚡
- Prix : 18 CHF.
- Avantages supplémentaires :
- 100 minutes gratuites pour le roaming dans l’UE et aux États-Unis, ainsi que pour les appels de la Suisse vers ces destinations.
- Pleine vitesse 5G pour profiter d’un débit maximal, contrairement à la limitation à 30 Mbit/s auparavant.
- 2 Go de données en roaming dans l’UE et aux États-Unis.
Le nouvel abonnement illimité le moins cher de Suisse 💰📢
- Tarif imbattable : Actuellement, le « Flat Mobile Swiss » est l’abonnement mobile illimité le moins cher du pays.
- Comparaison avec d’autres offres :
- GoMo+ à 14,95 CHF.
- Spusu avec une offre promotionnelle à 18,90 CHF.
- Galaxus à 19 CHF.
- Teleboy à 19,90 CHF.
- Pérennité : Ce tarif n’est pas une offre promotionnelle temporaire, mais devrait être proposé de manière permanente.
Spécificités de digital republic 📄
- Sans frais d’activation.
- Flexibilité : Aucun engagement de durée minimale et possibilité de résilier à tout moment.
- Avantages :
- Le premier mois est gratuit.
- Option d’abonnement annuel qui offre un mois gratuit par an.
Ces éléments démontrent l’engagement de Digital Republic à offrir une solution économique et flexible pour les utilisateurs en Suisse. Profitez dès maintenant de cette offre innovante et simplifiée !
informatique
OnlyFans : succès fulgurant ou piège dangereux ? Plongée au cœur d’une plateforme controversée 💸🔞
OnlyFans : succès fulgurant, scandales et témoignages d’utilisateurs 💸🔞
OnlyFans, plateforme numérique au succès retentissant, a vu sa popularité exploser ces dernières années. Avec des centaines de millions d’utilisateurs et un chiffre d’affaires de plusieurs milliards, elle attire autant d’admirateurs que de critiques. Pour certains créateurs de contenu, elle représente une manne financière, tandis que pour d’autres, elle est source de difficultés et de risques. Découvrez les coulisses de cette plateforme controversée à travers des témoignages et une analyse approfondie.
OnlyFans : un modèle économique unique et lucratif 💵
Lancé en 2016, OnlyFans a su se démarquer des autres réseaux sociaux en permettant à ses utilisateurs de monétiser leur contenu de manière directe. Contrairement à des plateformes comme Instagram ou TikTok, où le contenu est gratuit et financé par la publicité, OnlyFans repose sur un modèle d’abonnement payant. Pour accéder aux contenus exclusifs de leurs créateurs favoris, les abonnés paient entre 5 et 50 francs par mois.
Le boom durant la pandémie 📈
L’essor de la plateforme s’est accéléré durant la pandémie de COVID-19, période durant laquelle des millions de personnes ont cherché des sources de revenus alternatives. De 20 millions d’utilisateurs en 2020, OnlyFans est passé à plus de 300 millions aujourd’hui. Cette explosion a permis à de nombreux créateurs de contenu d’atteindre des niveaux de revenus significatifs, certains allant jusqu’à 30 000 euros par mois.
Des revenus alléchants pour les créateurs 🎟️
Pour de nombreux créateurs, OnlyFans est devenu une source de revenus à temps plein. Parmi eux, des personnalités influentes et des amateurs de tous horizons, qui proposent du contenu allant du simple érotisme aux vidéos pornographiques explicites. Le caractère interactif de la plateforme, avec la possibilité pour les abonnés d’échanger directement avec les créateurs via des messages privés ou des pourboires, ajoute une dimension d’intimité très appréciée par les fans.
Témoignages de créateurs : entre liberté et stigmatisation 📸
Dans un modeste appartement de Lausanne, Zengael, une éducatrice de la petite enfance, gère son compte OnlyFans. Elle publie des photos et des vidéos qui seraient censurées sur des plateformes comme Instagram, générant ainsi un revenu supplémentaire d’environ 1 000 francs par mois. Elle explique :
« Je suis maman célibataire, et financièrement, c’était difficile de joindre les deux bouts. OnlyFans m’offre un petit plus. »
Cependant, cette activité n’est pas sans impact sur sa vie personnelle et professionnelle. En tant qu’éducatrice, elle doit composer avec le regard critique de ses collègues et des parents :
« Mon employeur sait ce que je fais, et cela suscite des discussions. Mais ce n’est pas parce que je fais des photos nues que je ne suis pas une professionnelle compétente. »
Un espace de liberté pour des créateurs comme Adam 🚀
Pour Adam Jones, ancien horloger devenu créateur sur OnlyFans, la plateforme représente une nouvelle forme d’expression. Passionné de moto, il a rapidement remarqué que ses clichés avec sa moto attiraient beaucoup plus d’abonnés. Il explique :
« Dans le porno traditionnel, les corps sont souvent standardisés. OnlyFans permet à des personnes comme moi, qui ne correspondent pas aux canons habituels, de trouver leur audience et de montrer qu’on peut avoir une sexualité épanouie, peu importe notre apparence. »
Les dangers cachés de la popularité : harcèlement et extorsion 🚨🛑
Malgré ses avantages, OnlyFans peut rapidement devenir un terrain miné pour les créateurs, surtout lorsqu’ils décident de montrer leur visage. C’est ce qu’a vécu Céline, une créatrice active sur la plateforme depuis cinq ans. Alors qu’elle partageait des vidéos explicites, un internaute malveillant a identifié son lieu de travail et a tenté de la faire chanter, menaçant de révéler son activité à son employeur.
Elle raconte :
« Il m’a demandé 500 francs pour ne pas me dénoncer. J’ai refusé de céder à son chantage et j’ai porté plainte. Heureusement, il a été arrêté peu de temps après. »
Ce genre de situation n’est pas rare. Beaucoup de créateurs sont exposés à des tentatives d’extorsion, surtout lorsqu’ils montrent leur visage ou partagent des informations personnelles.
Agents et gestionnaires de comptes : l’essor d’un business parallèle 🤝🕵️
Pour maximiser leurs revenus, certains créateurs font appel à des agents pour gérer leurs comptes et les interactions avec les abonnés. Un jeune Vaudois, par exemple, gère le compte d’une créatrice basée au Venezuela. En se faisant passer pour elle, il communique avec les abonnés, optimisant ainsi le temps de la créatrice.
Cependant, ce modèle attire aussi des escrocs. Une jeune femme romande s’est fait arnaquer par une agence qui lui avait promis d’augmenter ses revenus. Non seulement cette agence n’a pas tenu ses promesses, mais elle a fini par prendre le contrôle total de son compte, modifiant les coordonnées bancaires pour s’approprier les gains.
L’avocat de la victime explique :
« Ils ont changé les accès et siphonné ses revenus. Cela montre à quel point ce milieu peut être prédateur pour ceux qui ne sont pas suffisamment informés. »
Le siège d’OnlyFans à Londres : sous pression des autorités 📉🔍
Malgré son immense succès, OnlyFans est aujourd’hui sous le feu des critiques. Basée au Royaume-Uni, la société fait face à des accusations de proxénétisme, de manque de régulation et même de tolérance envers des contenus illégaux. Les autorités britanniques surveillent de près la plateforme, notamment en raison de cas impliquant des mineurs.
Lors d’une conférence, la directrice d’OnlyFans a promis des réformes pour sécuriser la plateforme :
« Nous connaissons l’âge et l’identité de tous nos utilisateurs. Si vous enfreignez nos règles, vous serez définitivement banni. »
Malgré ces promesses, beaucoup restent sceptiques quant à la réelle volonté de l’entreprise d’améliorer la sécurité sur sa plateforme.
L’avenir d’OnlyFans : diversification et nouveaux marchés 🌱🍳
Face aux controverses, OnlyFans cherche à diversifier son contenu pour attirer de nouveaux utilisateurs. La plateforme explore des domaines comme le jardinage, la cuisine ou encore les tutoriels lifestyle, tout en conservant son cœur de métier centré sur le contenu pour adultes. Cette tentative de diversification vise à améliorer son image tout en attirant une audience plus large.
D’autres plateformes, comme Mim et Minx, émergent également, offrant des alternatives plus spécialisées ou éthiques.
Un secteur en pleine mutation 🌐
Le succès d’OnlyFans a inspiré la création de nombreux concurrents. Ces nouveaux acteurs tentent d’offrir des services plus sécurisés et diversifiés, mais ils sont confrontés aux mêmes défis : régulation, sécurité des créateurs et des utilisateurs, et gestion des abus.
Conclusion : prudence et vigilance sur OnlyFans 🛡️💵
OnlyFans continue de représenter une opportunité pour de nombreux créateurs de générer des revenus conséquents, surtout dans un contexte économique difficile. Toutefois, cette liberté a un prix : harcèlement, arnaques, chantage et autres abus sont des réalités pour ceux qui choisissent d’exposer leur vie en ligne.
Pour ceux qui souhaitent se lancer, il est essentiel de :
- Protéger son anonymat : Éviter de montrer son visage ou des éléments reconnaissables de son environnement.
- Être vigilant face aux arnaques : Ne faire confiance qu’à des agences reconnues et ne jamais partager ses informations bancaires.
- Connaître ses droits : En cas de chantage ou d’abus, ne pas hésiter à porter plainte.
🔒 OnlyFans peut être une source de liberté financière, mais il est crucial de se protéger et d’agir avec prudence pour éviter les revers.
informatique
Accédez aux IA comme ChatGPT, Mistral AI et Google AI pour seulement 40 $ à vie
S’abonner à tous les services d’intelligence artificielle peut coûter des dizaines d’euros chaque mois. Cependant, la plateforme StackSocial propose un abonnement « à vie » à plusieurs de ces IA pour un tarif réduit.
Si vous utilisez régulièrement des IA pour créer du contenu textuel, des images ou des vidéos, vous savez que les abonnements mensuels peuvent rapidement s’accumuler. Bien que l’investissement puisse être rentable, il est toujours intéressant de réaliser des économies à long terme.
StackSocial offre justement cette opportunité en proposant un abonnement « à vie » aux principaux services d’IA. Vous aurez accès, via une seule interface, aux intelligences artificielles de ChatGPT (GPT-4, GPT-3.5), Anthropic (Claude), Google AI (Gemini), Meta (Llama), ainsi qu’à Mistral AI.
Alors que la version payante de ChatGPT coûte 20 $ par mois, l’offre de StackSocial est impressionnante : 39,99 $ à vie au lieu de 234 $. Vous bénéficiez d’un accès à vie à toutes les IA mentionnées, avec une grande flexibilité. Notez que la commande est exécutée immédiatement après validation.
Que vous soyez rédacteur, community manager ou que vous travailliez dans un domaine créatif, StackSocial met à disposition un outil puissant et une interface intuitive pour exploiter le potentiel des IA depuis un seul endroit. Plus besoin de naviguer entre différentes plateformes : photo, vidéo, texte, retranscription audio, tout est centralisé. Un système de crédits – 1 million gratuits par mois – vous offre une large capacité d’utilisation chaque mois.
À quoi correspond ce million de crédits ? Par exemple, vous pouvez générer jusqu’à 800 000 mots avec les différentes IA, créer jusqu’à 161 images, 12 vidéos ou encore réaliser 4 833 secondes de retranscription audio. Rappelons que ce service est proposé à un prix fixe à vie.
Il existe également une version Business donnant accès à 2 millions de crédits par mois (59,99 $ au lieu de 360 $), et une version Advanced Business avec 4 millions de crédits par mois (99,99 $ au lieu de 540 $).
Le retour de Sergey Brin chez Google, motivé par l’IA
Dans le monde effervescent de la technologie, où l’innovation est la monnaie courante, le retour d’une figure emblématique comme Sergey Brin, co-fondateur de Google, ne peut passer inaperçu.
En effet, selon des posts récents sur X, Sergey Brin a révélé travailler à nouveau chez Google « presque tous les jours », une décision motivée par l’intérêt croissant pour les avancées en intelligence artificielle (IA).
Sergey Brin, bien que retiré de la direction opérationnelle d’Alphabet et de Google depuis 2019, n’a jamais vraiment coupé les ponts avec l’entreprise qu’il a co-fondée. Son retour au premier plan est marqué par un engagement renouvelé dans le développement de technologies d’IA, notamment avec le projet Gemini, conçu pour rivaliser avec des initiatives comme ChatGPT d’OpenAI. Ce projet, sous la direction de Demis Hassabis de Google DeepMind, représente l’ambition de Google de rester à la pointe de l’innovation en IA.
Le retour de Brin n’est pas seulement symbolique; il a des implications concrètes sur la stratégie de Google. Son directe dans des aspects techniques et administratifs, comme le recrutement de chercheurs et la supervision de projets de recherche, souligne l’importance que Google accorde à l’IA. Cette dynamique reflète une volonté de ne pas seulement suivre, mais de mener la course à l’IA, un domaine où la concurrence est féroce et les enjeux, énormes.
Les raisons de son retour sont multiples mais convergent vers un intérêt commun : l’IA. Brin, avec sa vision pionnière, semble vouloir s’assurer que Google ne perde pas de terrain dans cette course technologique. Son retour peut être vu comme un signal fort aux concurrents et au monde de la tech : Google, sous l’impulsion de ses créateurs, continue de viser l’innovation à la pointe de l’IA.
Les réactions dans la communauté tech sont partagées. D’un côté, l’enthousiasme pour voir un des esprits créatifs de Google revenir au front pour une nouvelle aventure technologique. De l’autre, des questions sur les implications de cette focalisation sur l’IA, notamment en termes de vie privée et d’éthique technologique, sujets sensibles dans le contexte actuel.
Le retour de Sergey Brin chez Google, axé sur l’IA, marque bien plus qu’un retour aux sources ; c’est une déclaration ambitieuse pour l’avenir de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle. Alors que le monde observe, Brin et Google semblent préparer le terrain pour des innovations susceptibles de redéfinir les frontières de ce que nous croyons possible avec l’IA.