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Revue de presse : été 2023
Avis de vacances d’été 2023 – Rédaction fermée en juillet et août
Cher(e)s abonné(e)s, lecteurs et collaborateurs,
Comme chaque année, la période estivale est synonyme de repos et de détente pour de nombreuses personnes et il en est de même pour notre équipe. Nous souhaitons vous informer que notre rédaction fermera ses portes pour les vacances d’été.
Notre équipe de rédaction prendra des vacances bien méritées pour se ressourcer et revenir plus inspirée que jamais à partir du 1er juillet jusqu’au 31 août 2023. Pendant cette période, nous n’éditerons pas de nouveaux articles ni de mises à jour. Cependant, nous vous invitons à explorer notre archive riche en contenu où vous pourrez retrouver tous nos articles précédents.
Nous souhaitons remercier tous nos lecteurs et collaborateurs pour votre soutien continu et votre passion pour nos publications. C’est vous qui faites de notre travail un réel plaisir et une mission que nous sommes toujours impatients de poursuivre.
En attendant notre retour, nous vous souhaitons un bel été, rempli de soleil, de joie et de tranquillité. Prenez soin de vous et de vos proches, et profitez de ces moments pour vous ressourcer.
Nous avons hâte de vous retrouver en septembre, avec de nouvelles histoires passionnantes, des analyses approfondies et une perspective fraîche sur les sujets qui comptent pour vous.
Merci encore pour votre compréhension et votre patience.
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Revue de presse vendredi 22 novembre 2024
La Suisse à travers sa presse : entre échanges linguistiques, enjeux politiques et curiosités culturelles 🌍📜
La revue de presse suisse révèle un kaléidoscope d’actualités captivantes, allant des échanges culturels au cœur du pays, jusqu’à des réflexions profondes sur des sujets de société. Voici un article qui reprend et développe ces idées en profondeur.
Les échanges linguistiques : une richesse à cultiver 🇨🇭🗣️
L’initiative Movia : rapprocher les régions linguistiques suisses
Cette semaine, la Suisse vit au rythme de l’opération Movia, une initiative visant à promouvoir les échanges linguistiques entre les régions du pays. Des journalistes ont échangé leurs postes, permettant une immersion directe dans des réalités culturelles et linguistiques différentes.
- L’importance des échanges linguistiques :
- Renforcer la cohésion nationale dans un pays multilingue.
- Permettre aux citoyens de mieux comprendre les défis spécifiques de chaque région.
- Créer des ponts culturels entre les zones germanophones, francophones, italophones et romanches.
L’apprentissage des langues : un enjeu éducatif et politique
Dans le Tessin, une réforme propose d’enseigner l’allemand dès la première année secondaire, pour répondre aux besoins du marché. Cependant, des obstacles subsistent :
- Pénurie d’enseignants dans les matières clés comme l’allemand et les mathématiques.
- Coupes budgétaires qui compliquent la mise en œuvre des réformes.
Ce contexte souligne l’importance de prioriser l’éducation pour préserver le multilinguisme suisse.
Les scandales financiers : l’argent public sous les projecteurs 💰💼
Des consultants payés à prix d’or
Le département suisse de la Défense fait face à des critiques pour avoir dépensé des sommes astronomiques sur des consultants :
- 400 000 francs payés à un ancien officier pour son rôle pendant la pandémie.
- Une plainte a été déposée pour abus de pouvoir et gestion déloyale.
Ce type de dépense pose la question de la transparence dans la gestion des fonds publics.
Aides insuffisantes après les catastrophes naturelles
Les récentes intempéries qui ont ravagé plusieurs cantons suisses ont laissé des cicatrices profondes. Si la Confédération a prévu d’allouer 56,5 millions de francs, les autorités tessinoises jugent ce montant largement insuffisant, réclamant plus de 100 millions. Cette situation illustre les tensions entre la Confédération et les cantons sur la gestion des catastrophes naturelles.
Le football et la corruption : l’avis tranché de Sepp Blatter ⚽🧐
L’ancien président de la FIFA, Sepp Blatter, ne mâche pas ses mots. Dans une récente interview, il critique le mode d’attribution des Coupes du Monde 2030 et 2034, dénonçant une commercialisation croissante du football :
- Salaires excessifs des joueurs et dirigeants.
- Augmentation des tournois, au détriment de la qualité et des valeurs sportives.
- Risque accru de violences, sur le terrain comme en dehors.
Les violences envers les élus : un phénomène préoccupant 📩🛑
Les élus suisses, qu’ils soient locaux ou fédéraux, font face à des vagues de violence verbale et numérique. Une étude nationale a été lancée pour mesurer l’ampleur du phénomène, une première étape cruciale pour agir.
La consommation de bière en baisse : une crise pour les brasseries 🍺☔
Les brasseries suisses sont confrontées à une baisse de la consommation due à un été pluvieux et à la hausse des coûts de production. Les prix risquent d’augmenter au-delà de 9 francs la chope, une tendance qui pourrait encore freiner la demande.
Le team building : un outil sous-estimé dans le monde du travail 🏢🌱
Les activités de team building, souvent perçues comme légères, jouent en réalité un rôle clé dans les dynamiques professionnelles. Comparé à l’entretien d’une plante, le team building permet :
- De renforcer les relations au sein des équipes.
- D’identifier les problèmes sous-jacents pour les résoudre efficacement.
Entre poésie et dépendance : la Suisse face à ses paradoxes 📱❄️
La dépendance aux smartphones : une réalité envahissante
Une étude illustre notre addiction croissante aux téléphones portables, comparée avec humour à des « aliens » envahissant notre quotidien. Une réflexion nécessaire sur notre rapport aux nouvelles technologies.
La magie de la neige : une source de poésie
Malgré les tracas qu’elle peut occasionner, la première neige suscite toujours l’émerveillement. Elle est une invitation à ralentir et à apprécier la beauté de la nature, comme le montre une photo de Berne sous un manteau blanc.
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Revue de presse lundi 18 novembre 2024
L’Ukraine face à un tournant stratégique : feu vert des États-Unis pour frapper en Russie
Depuis plusieurs mois, le conflit en Ukraine semble s’enliser, mais un tournant majeur vient d’être annoncé : les États-Unis autorisent désormais l’Ukraine à mener des attaques en territoire russe. Cette décision, relayée par la presse internationale, pourrait profondément influencer le cours du conflit.
Ce changement de stratégie américaine serait motivé par l’apparition de soldats nord-coréens aux côtés des troupes russes. Cette nouvelle donne militaire soulève des questions sur les alliances en cours et leurs implications pour la stabilité régionale. Selon le journal suisse NZZ, les dernières attaques russes sont parmi les plus intenses observées ces derniers mois, rendant la situation encore plus volatile.
L’aide inattendue de Washington pourrait bien représenter un soutien crucial pour Kyiv, surtout face à une offensive russe qui gagne en intensité. Le dilemme reste cependant entier pour les populations civiles du Donbass : partir ou rester dans une région ravagée par la guerre ?
L’insupportable dilemme des populations ukrainiennes : rester ou fuir ?
À mesure que le conflit s’intensifie, la question du déplacement des populations civiles se pose de plus en plus cruellement. Dans de nombreux villages et villes du Donbass, les habitants sont confrontés à un choix déchirant : abandonner leurs maisons ou tenter de survivre sous les bombardements incessants.
Des témoignages recueillis dans le cadre de reportages sur le terrain mettent en lumière la souffrance des civils, pris au piège entre des forces opposées. Les autorités locales, quant à elles, peinent à apporter un soutien adéquat dans cette zone de guerre.
États-Unis : la résistance à l’expansion du pouvoir de Donald Trump
En parallèle, sur le continent américain, l’avenir politique du pays est incertain. Le journal La Liberté met en lumière la volonté de Donald Trump de reprendre le contrôle total du gouvernement dès son retour potentiel au pouvoir en janvier prochain. Cependant, cette ambition rencontre des obstacles : plusieurs États démocrates s’organisent pour protéger la Constitution et l’État de droit.
Avec une campagne électorale imminente, la question de la séparation des pouvoirs et du respect des institutions démocratiques est plus cruciale que jamais. La résistance interne à la politique de Trump pourrait bien jouer un rôle déterminant dans les prochaines élections.
Politique d’asile au Danemark : un exemple pour la Suisse ?
Le Blick se penche sur la politique d’asile stricte du Danemark, considérée comme la plus sévère d’Europe. Cette approche est présentée comme un modèle que la Suisse pourrait adopter. En effet, la politique migratoire suisse est régulièrement débattue, notamment en raison des défis liés à l’accueil des réfugiés et à l’intégration.
Le Danemark, en limitant drastiquement l’accès à son territoire, soulève des interrogations sur l’équilibre entre humanité et protection des frontières. Ce modèle suscite autant d’admiration que de critiques, notamment pour son impact sur les droits des migrants.
La formation des médecins en Suisse : un besoin urgent de renfort
Face à la pénurie de médecins, Zurich envisage d’augmenter le nombre d’étudiants en médecine de manière significative. Actuellement, 380 nouveaux étudiants sont formés chaque année, mais une proposition vise à porter ce chiffre à 880 d’ici 2028. Cette initiative, soutenue par une large coalition politique, pourrait être adoptée prochainement.
Le constat est sans appel : 40 % des médecins exerçant en Suisse proviennent de l’étranger, une situation qui met en lumière la dépendance du pays vis-à-vis de l’immigration pour combler ses besoins en personnel médical. Cependant, former plus de médecins en Suisse implique des coûts considérables, estimés à 50 millions de francs suisses par an pour le canton de Zurich.
Violence conjugale : quelles mesures pour une meilleure protection en Suisse ?
Les violences conjugales restent un fléau en Suisse, comme le révèlent plusieurs enquêtes publiées par le Nouvelliste et Arcinfo. Malgré les efforts entrepris, les résultats tardent à se faire sentir. Parmi les principales lacunes identifiées figurent :
- Un manque de places d’accueil pour les victimes.
- Des lacunes en matière de financement pour les structures d’accompagnement.
- Un suivi insuffisant des auteurs via des dispositifs tels que le bracelet électronique.
- Une coordination complexe entre les différentes polices cantonales, compliquée par le fédéralisme.
Un commandant de police suisse déclare même que le fédéralisme actuel n’est plus adapté à la lutte contre la criminalité moderne. Selon lui, il faudrait une centralisation des compétences pour mieux lutter contre la violence.
Masculinité en question : repenser les stéréotypes pour réduire les violences sexuelles
Le journal Le Courrier se penche sur le thème de la masculinité et ses conséquences sur les violences sexuelles. Plusieurs témoignages d’hommes montrent à quel point les stéréotypes de virilité peuvent être destructeurs, non seulement pour les femmes, mais aussi pour les hommes eux-mêmes. Selon eux, être un homme, c’est souvent faire face à des pressions sociales dès l’enfance, des pressions qui encouragent la violence et les inégalités.
Pour progresser vers une société plus égalitaire, il est crucial de déconstruire ces stéréotypes et d’encourager des comportements plus inclusifs et respectueux.
Dépendance au smartphone : comment s’en libérer ?
Enfin, Le Temps propose 10 conseils pour réduire sa dépendance au smartphone, un problème qui touche 40 % des adultes selon un récent sondage. Voici quelques astuces pour décrocher :
- Réduire le nombre de notifications.
- Supprimer les applications de réseaux sociaux du téléphone.
- Ne consulter ses réseaux sociaux que sur un ordinateur.
- Le week-end, utiliser un téléphone basique sans écran tactile.
- Désactiver les notifications pour se concentrer sur l’essentiel.
Ces pratiques peuvent aider à retrouver un équilibre dans notre relation avec la technologie et à consacrer plus de temps à des activités enrichissantes.
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Revue de presse dimanche 17 novembre 2024
Les journaux dominicaux mettent en lumière plusieurs sujets majeurs : le conflit au Proche-Orient qui secoue l’EPFL, une alliance politique inattendue pour sauver les aciéries suisses, et le harcèlement subi par l’ancien directeur de Credit Suisse, Tidjane Thiam.
Le Matin Dimanche : Une lettre signée par 80 personnes dénonce un climat d’intimidation à l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) envers les étudiants et employés juifs et israéliens, rapporte le journal. Ce document de 30 pages, intitulé “Extrémisme potentiel et enseignement tendancieux”, a été remis à la direction de l’EPFL. Il pointe la présence d’étudiants agressifs, de professeurs activistes soutenant ces actions, et de conférenciers présentant une vision unilatérale du conflit au Proche-Orient. La lettre affirme que “les organisations dites propalestiniennes qui agissent actuellement sur le campus de l’EPFL ne sont pas propalestiniennes, mais plutôt anti-israéliennes”. L’université voisine de Lausanne a récemment déposé une plainte pour déprédations et délation, et les mesures de sécurité ont été renforcées.
NZZ am Sonntag : Le Parti socialiste (PS) et l’Union démocratique du centre (UDC) unissent leurs forces pour soutenir l’industrie sidérurgique suisse en difficulté, révèle le journal. Les conseillers nationaux Roger Nordmann (PS/VD) et Christian Imark (UDC/SO), membres de la Commission de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’énergie (CEATE), proposent de réduire les coûts élevés de l’électricité grâce à des rabais échelonnés pour l’utilisation du réseau. Cette initiative vise à préserver les emplois et l’importance stratégique des aciéries Stahl Gerlafingen (SO) et Swiss Steel à Emmenbrücke (LU). La commission discutera de ce plan de sauvetage lundi, et l’usine d’aluminium valaisanne Novelis pourrait également être incluse.
NZZ am Sonntag : Tidjane Thiam, ancien directeur de Credit Suisse, a reçu de nombreux messages menaçants en 2016, indique le journal. L’auteur de ces messages était un ancien collègue de Prudential, où M. Thiam avait travaillé avant de rejoindre la banque suisse. Cet individu le diffamait également en ligne via de faux profils sur des sites douteux. Même l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA) a reçu une lettre de ce harceleur, affirmant que Credit Suisse avait “désormais un chef criminel”. Des enquêtes menées par la FINMA ont conclu que l’homme souffrait de troubles psychiques. M. Thiam avait fait surveiller le harceleur pendant son mandat au Credit Suisse. L’affaire n’a pas été portée devant la justice, car l’homme est décédé entre-temps.
SonntagsZeitung : Selon un sondage de la Haute école de Lucerne (HSLU) rapporté par le journal, 11 % des Suisses ont investi dans des devises numériques, mais 6 % se sont déjà retirés du marché. Les investisseurs sont principalement des hommes et des jeunes générations. Deux personnes sur cinq nées entre 1980 et 1995 possèdent des cryptomonnaies, contre seulement 4 % des baby-boomers (1946-1964). Seule une personne sur sept effectue des transactions actives ou investit des sommes importantes. Andreas Dietrich, auteur de l’étude, estime que le potentiel de croissance du marché est limité en raison du faible intérêt des non-investisseurs et d’un scepticisme élevé.
Le Matin Dimanche : Le crochet gagne en popularité parmi les jeunes en Suisse, souligne le journal, notant que les contenus liés au crochet et au tricot accumulent des millions de vues sur les réseaux sociaux. Alex Hämmerli, porte-parole de Galaxus, le plus grand détaillant en ligne du pays, indique que “les jeunes représentent une part en forte croissance des ventes de produits de tricot et de couture”. En 2023, les 25-34 ans sont les principaux acheteurs de matériel de tricot et de couture, représentant près de 40 % des clients âgés de moins de 34 ans.
SonntagsZeitung : Migros envisage d’éliminer la différenciation des prix pour les mêmes produits dans ses magasins, rapporte le journal. “Il est important pour nous que nos clientes et clients bénéficient de prix aussi attractifs dans tous les supermarchés de Zurich et de Suisse”, déclare une porte-parole de l’enseigne. Les écarts de prix étaient particulièrement notables sur les produits frais, la viande et le poisson, certaines filiales de la coopérative régionale de Zurich étant plus chères. Une étude du journal des consommateurs Saldo a révélé que la majoration atteignait en moyenne 7,5 %, avec des pointes à 10 % dans certaines coopératives comme Migros Bâle.
NZZ am Sonntag : Près de 45 % des pilotes de la compagnie aérienne Swiss travaillent désormais à temps partiel, contre 33 % il y a cinq ans, observe le journal. Cette tendance s’explique par le désir des pilotes de mieux concilier vie privée et horaires de travail. Alors que chez Lufthansa, la maison mère, il est possible de planifier des jours de congé importants, cette option n’existe pas chez Swiss. Selon Thomas Steffen de l’association des pilotes Aeropers, cette différence est à l’origine du conflit entre les pilotes et la direction. Le personnel de cabine critique également un manque de planification de la part de la compagnie.
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La commune de Grimisuat honorée pour sa gestion intégrée de l’eau
Pour la quatrième année consécutive, le #prixalpiq distingue des projets de gestion durable de l’eau soutenus par des communes valaisannes. Grimisuat remporte l’édition 2024 avec son projet « Réseau d’irrigation de Grimisuat : stockage et gestion durable de l’eau ».
Selon Raphaël Vuigner, président de la commune : « Ce prix est une reconnaissance du travail de nos prédécesseurs. Depuis toujours, ils ont dû trouver des accords et des solutions pour amener de l’eau dans notre commune qui, en raison de sa position à mi-coteau, n’a aucun accès direct à l’eau. Le prix contribuera au financement de notre projet et donnera de la visibilité à notre approche globale. Dans un contexte de changement climatique inévitable, dans un canton aride comme le Valais, la gestion de l’eau sera un enjeu central dans les années à venir. »
Lien vers le communiqué de presse
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Revue de presse dimanche 4 août 2024
Une surveillance des objecteurs de conscience, des magasins suisses encore peu adaptés aux besoins des personnes autistes, ainsi qu’une économie suisse surpassant celle de l’Allemagne sont les principaux sujets abordés dans la presse dominicale.
NZZ am Sonntag : La police cantonale zurichoise a soumis une demande au Service de renseignement de la Confédération (SRC) pour surveiller les objecteurs de conscience. Une telle démarche entraînerait une surveillance accrue de ces personnes par les services de renseignement, précise le journal. Le SRC pourrait ainsi recueillir “toutes les informations nécessaires”, y compris celles concernant la liberté d’expression et de réunion, ce qui est normalement interdit. Le SRC a refusé de commenter le sujet.
NZZ am Sonntag : Le conseiller fédéral Albert Rösti a critiqué un article d’opinion de son collègue Beat Jans concernant le débat sur l’UE. Rösti a souligné l’importance de respecter les responsabilités dans ce dossier, notamment celle du ministre des Affaires étrangères, Ignazio Cassis. Il a également indiqué que continuer ce débat en public pourrait nuire aux négociations. Jans a affirmé avoir informé Cassis avant la publication de l’article et que les négociations n’ont pas été affectées par cette contribution. Le texte avait été discuté avec la délégation de négociations, mais pas avec l’ensemble du Conseil fédéral.
Le Matin Dimanche : Selon Le Matin Dimanche, l’hôtellerie suisse pourrait dépasser les 42 millions de nuitées en 2024, d’après les prévisions de l’institut BAK Economics. Cependant, Suisse Tourisme note que la météo pluvieuse et les intempéries du début de l’été pourraient freiner cette tendance, en particulier dans les régions montagneuses qui ont été durement touchées. Valais-Wallis Promotion s’attendait, à la mi-juillet, à une baisse de 12% des réservations dans la parahôtellerie pour juillet et août.
SonntagsZeitung : Contrairement aux magasins étrangers, les enseignes suisses ne répondent pas encore suffisamment aux besoins des personnes autistes. Dans les pays voisins, de plus en plus de magasins proposent des heures silencieuses, avec musique éteinte, éclairage tamisé, et rayons non rangés, selon la SonntagsZeitung. En Suisse, seulement treize filiales Spar offrent cette option. L’association Autismus Schweiz estime que 1 à 3% de la population suisse est atteinte d’autisme.
SonntagsZeitung : Depuis la pandémie de Covid-19, l’économie suisse surpasse celle de l’Allemagne, avec une augmentation du produit intérieur brut de près de 8% depuis fin 2020, rapporte la SonntagsZeitung. En revanche, l’économie allemande n’aurait progressé que de 2,5%. L’expression “quand l’Allemagne tousse, la Suisse attrape la grippe” n’est plus d’actualité. Il y a vingt ans, plus de 20% des exportations suisses étaient destinées à l’Allemagne, contre 15% aujourd’hui. De plus, les secteurs de l’immobilier, de la finance et du tourisme dépendent moins de l’Allemagne.
SonntagsZeitung : Dans l’affaire de l’ancien patron de Raiffeisen, Pierin Vincenz, le ministère public de Zurich accuse la Haute Cour de justice de déformer des citations. Selon le ministère public, l’annulation de la condamnation de Vincenz est une tactique qui constitue un “déni de justice”. Un jugement du Tribunal fédéral est attendu d’ici la fin de l’année.
SonntagsBlick : Les attaches et barrières de lit n’ont pas disparu des maisons de retraite suisses. En 2021, au moins 3300 personnes âgées en Suisse étaient encore concernées, selon les données de l’Office fédéral de la santé publique. La majorité des établissements utilisent ces mesures seulement dans des cas exceptionnels, mais 80 des 1300 foyers enregistrés restreignaient 10% des résidents, et dans 15 foyers, ces mesures concernaient entre 20 et 50% des résidents. Ces pratiques sont surtout observées dans les établissements privés médicalisés de Suisse romande et du Tessin.