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Amazon s’offre le mythique studio de James Bond, MGM
Amazon va racheter le studio MGM, derrière la franchise James Bond, pour 8,45 milliards de dollars, deuxième acquisition la plus chère de l’histoire de l’entreprise.
James Bond, Rocky… Plus de 4000 films vont passer sous le pavillon d’Amazon après l’acquisition pour 8,45 milliards de dollars du studio hollywoodien quasi centenaire MGM, Metro-Goldwyn-Mayer, manière pour l’ogre américain du commerce en ligne de concurrencer Netflix dans le streaming. Ce rachat «est très exaltant et il offre beaucoup d’opportunités d’histoires de grandes qualités à raconter», s’est réjoui dans un communiqué Mike Hopkins, vice-président senior de Prime Video et d’Amazon Studios. Il s’agit de la deuxième acquisition la plus chère de l’histoire d’Amazon après le rachat des supermarchés américains Whole Foods pour 13,7 milliards de dollars en 2017.
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Construction spectaculaire sur le Schilthorn : une prouesse technique et humaine
Le Schilthorn, haut lieu touristique suisse, est actuellement le théâtre d’un chantier monumental. Bien que les travaux soient visibles, les visiteurs en sont généralement informés à l’avance. Plutôt qu’un désavantage, ces travaux offrent une expérience unique : un aperçu des capacités techniques et logistiques nécessaires à une telle entreprise. Voici un voyage au cœur de ce projet hors normes, entre records et traditions, superlatifs et innovations.
Une logistique défiant les lois de la gravitation
L’aspect logistique est sans doute l’un des plus grands défis de ce chantier. Sur ce terrain montagneux, les marges de manœuvre sont infimes. Du transport des matériaux à leur mise en place, tout doit être calculé avec précision :
- Les matériaux sont transportés depuis Stechelberg jusqu’à Mürren par les équipes de Schilthornbahn.
- À Mürren, ils sont chargés sur des plateaux ou véhicules spéciaux pour atteindre les sites de construction.
- La pente abrupte (600 mètres de différence d’altitude) nécessite l’utilisation de câbles tracteurs pour acheminer les charges lourdes.
Le transport des câbles : une épreuve titanesque
Le montage des câbles est un spectacle en soi. Aujourd’hui, le « câble dyneema », pièce maîtresse du système, a été acheminé par voie aérienne. Ce câble sert à tirer d’autres câbles entre la vallée et la montagne. Il s’agit d’un véritable exploit technique :
- Utilisation d’un câble à six torons de 42,5 mm de diamètre.
- Une longueur de raccord (épissure) de 65 mètres.
Les tests réguliers, comme la mesure des angles de câble, garantissent que la théorie rejoint la réalité. Le Schilthorn accueille ainsi le téléphérique le plus abrupt au monde avec un angle de 59 degrés.
Une construction alimentée par l’innovation
Le chantier ne se limite pas à des records techniques. Les infrastructures innovantes redéfinissent ce qui est possible à 2 700 mètres d’altitude. Parmi ces innovations, un système d’alimentation électrique installé dans les cabines du tronçon 3 réserve une surprise pour les visiteurs.
Le bétonnage à haute altitude
Pour construire des structures solides, une chaîne logistique précise a été mise en place :
- Transport du gravier à Birg par téléphérique.
- Stockage et transfert par camion-benne avant de remplir les mixeurs.
- Acheminement du béton mélangé dans des seaux, transportés par câble cargo jusqu’à leur destination finale.
Des grues dédiées à la restauration tournante
À proximité du restaurant tournant, des grues à chenilles permettent de transporter les matériaux. Ces grues travaillent en duo pour assurer une livraison fluide sur ce site exigeant.
Des records et des matériaux d’exception
La construction de la nouvelle ligne entre Birg et Schilthorn implique un effort colossal. Les câbles d’acier, pesant au total 700 tonnes, doivent être transportés à des altitudes vertigineuses. Les sections les plus ardues mettent les véhicules et les équipes à rude épreuve :
- Transport des bobines de 50 tonnes avec des véhicules spéciaux.
- Organisation d’un convoi entre Oberweis et Lauterbrunnen pour amener les cabines sur le site.
Une prouesse culturelle et durable
Un autre aspect remarquable est l’utilisation de cuivre massif, un matériau noble et durable. Avec 85 tonnes de cuivre, les coûts s’élèvent à 700 000 francs. Ce choix garantit une durée de vie exceptionnelle de 50 ans, faisant de cet investissement un modèle de durabilité.
La rénovation du restaurant tournant Piz Gloria
Un autre volet de ce projet titanesque concerne la modernisation du célèbre restaurant tournant. Les travaux d’infrastructure ont permis de stabiliser l’ensemble de la structure. Les poutres rouges qui supportaient autrefois le poids du restaurant sont devenues inutiles, un véritable témoignage de la robustesse de la nouvelle conception.
Milestone après milestone
Les phases de construction avancent rapidement :
- La ligne ancienne a été démontée pour laisser place à la nouvelle infrastructure.
- La mise en service du premier sous-système marque une étape importante.
- Les anciens câbles sont réutilisés pour tirer les nouveaux, une économie astucieuse.
Une aventure humaine
Derrière chaque avancée technique se trouvent des hommes et des femmes passionnés. Chaque participant est conscient de l’importance historique de ce projet. L’enthousiasme est palpable, surtout parmi ceux qui travaillent sur ce chantier depuis plusieurs années. Leur travail représente une contribution majeure à l’héritage culturel de la région.
Une aventure mémorable
Ce chantier laissera une empreinte durable. Comme le dit l’un des travailleurs : « Nous reparlerons de ce projet dans dix ans avec fierté.» Ce téléphérique, véritable prouesse technologique et architecturale, est déjà ancré dans l’histoire.
Conclusion : un chantier d’exception
Le Schilthornbahn, symbole de superlatifs et de traditions, incarne tout ce qu’un projet d’ingénierie peut offrir de mieux. Entre les records battus, les innovations logistiques, et les performances humaines, ce chantier est une inspiration. Avec l’inauguration de la ligne directe de Mürren à Stechelberg, la montagne suisse offre une expérience inégalée à ses visiteurs. ⛰️✨
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Le téléphérique le plus raide du monde inauguré dans les Alpes bernoises 🌄🚁
Une prouesse technique au cœur des Alpes ⛰
Le téléphérique inauguré ce samedi dans les Alpes bernoises promet une expérience inoubliable. Reliant Stechelberg à Mürren, dans l’Oberland bernois, cette installation défie la gravité avec une pente maximale de 159,4%, soit la plus raide du monde. “Pas question d’avoir le vertige !” prévient l’exploitant, les Schilthornbahnen.
Une ascension vertigineuse 🌋
Avec ses deux cabines automatisées pouvant accueillir 85 passagers, ce téléphérique offre une sensation unique. Les voyageurs ont l’impression d’être dans un ascenseur suspendu au-dessus du vide, en traversant une falaise de 600 mètres avant d’atteindre le premier pylône. Ce trajet promet des frissons et une vue à couper le souffle sur les paysages alpins.
Une modernisation indispensable ⚙️
L’ancien téléphérique, en service depuis les années 1960, avait bien besoin d’une mise à jour. Avec cette nouvelle installation, les Schilthornbahnen marquent un tournant dans l’histoire des transports alpins. Ce projet, baptisé Schilthornbahn 20XX, inclut une rénovation complète de la station de départ située dans la vallée de Lauterbrunnen.
Une station de départ repensée 🏢
Les touristes sont maintenant accueillis dans un édifice moderne et chaleureux, construit en bois local. Ce bâtiment n’est pas seulement esthétique, mais aussi écologique. La nouvelle installation récupère l’énergie de freinage des cabines, réduisant ainsi son empreinte écologique.
Un record mondial ⚡
Avec une pente de 159,4%, ce téléphérique détrône celui de Norvège, qui affichait jusqu’alors une pente de 133%. Une réalisation qui confirme la maîtrise suisse en matière de construction en montagne.
Une destination emblématique 🎥⛰
Le Schilthorn, également connu sous le nom de Piz Gloria, est une destination mythique. Sa renommée mondiale repose en partie sur son rôle dans le film « Au service secret de sa majesté » de James Bond.
Un essor touristique fulgurant 🏞️
En dix ans, le Schilthorn a vu sa fréquentation augmenter de 50%. Cette popularité croissante est le fruit d’une alliance entre nature spectaculaire, infrastructures modernes et aura cinématographique.
Une expérience en trois étapes 🛏
Accéder au sommet du Schilthorn est une aventure en soi. Voici les trois étapes clés :
- Stechelberg à Mürren : le tronçon le plus raide, inauguré ce samedi.
- Mürren à Birg : un trajet déjà ouvert offrant une vue imprenable.
- Birg au Schilthorn : en construction, ce tronçon final sera prêt en mars prochain.
En tout, il ne faudra plus que 22 minutes pour atteindre le sommet, contre 32 minutes auparavant. Une véritable prouesse technique !
Un investissement colossal 💸
Ce projet ambitieux a nécessité un budget total de 135 millions de francs suisses, financé à un tiers par le canton et la Confédération.
Des retombées économiques 💰
L’amélioration des infrastructures renforce l’attractivité de la région, bénéficiant non seulement aux touristes mais également à l’économie locale. Hôtels, restaurants et commerces profitent de cet afflux croissant.
Une attraction à couper le souffle 🚫✌️
Que l’on soit amateur de sensations fortes ou simplement en quête de paysages grandioses, le téléphérique le plus raide du monde promet une expérience unique. Avec son équilibre parfait entre innovation technologique, respect de l’environnement et mise en valeur du patrimoine naturel, il s’impose comme un incontournable des Alpes suisses.
Alors, prêts à embarquer pour une ascension extraordinaire ? 🎶❄️
bttf
L’incroyable aventure de la création de Retour vers le futur 🚀
bttf
Retour vers le futur : L’incroyable histoire derrière le film culte 🎬✨
Retour vers le futur : L’incroyable histoire derrière le film culte 🎬✨
Une histoire plus dingue que le film lui-même 🤯
Certains films nous marquent par leur innocence et leur bonne humeur, devenant des classiques intemporels que l’on regarde encore et encore avec le même plaisir. Parmi ces films, Retour vers le futur est sans aucun doute l’un des plus populaires. Pourtant, derrière ce chef-d’œuvre du cinéma se cache une histoire de production presque aussi folle que celle racontée à l’écran. Ce film culte, apprécié pour son humour et son intelligence, a pourtant connu des débuts difficiles et une série d’événements inattendus avant de voir le jour.
La genèse d’un rêve 🎞️
Pour comprendre comment Retour vers le futur a vu le jour, il faut remonter le temps (comme Marty !) jusqu’en 1973, à l’Université de Californie du Sud. C’est là que deux étudiants passionnés de cinéma, Bob Gale et Robert Zemeckis, surnommés affectueusement « Bob et Bob », se rencontrent. Dès leurs débuts, les deux compères rêvent de réaliser un film sur le voyage dans le temps. Mais ils manquent d’une idée forte… jusqu’à ce que Gale, en visitant ses parents, découvre que son père avait été délégué de classe au lycée. 💡 Et si un jeune homme voyageait dans le passé et rencontrait ses parents à l’école ? C’est ainsi que l’idée du film est née.
L’écriture du scénario : une aventure en elle-même 🖋️
Bob et Bob se lancent alors dans l’écriture du scénario, mais c’est loin d’être un long fleuve tranquille. Ils utilisent une technique d’écriture appelée « l’index card method » (technique des fiches), qui consiste à écrire des idées clés sur des fiches et à les organiser pour structurer l’histoire. Cela leur permet de construire le film scène par scène, en s’assurant que chaque détail a une place précise dans l’intrigue.
Exemple emblématique : au début du film, Marty et Doc se retrouvent sur le parking du centre commercial des deux pins. Plus tard, après que Marty a écrasé un arbre en s’enfuyant avec la DeLorean dans le passé, le centre s’appelle « le pain solitaire ». Ce souci du détail est un excellent exemple de ce que l’on appelle le fusil de Tchekhov, une technique qui veut que tout élément introduit dans une histoire ait une utilité par la suite.
Le parcours du combattant pour trouver un studio 🎬
Malgré un scénario solide, les deux compères se heurtent à un mur : aucun studio ne veut financer leur film. Columbia Pictures, qui avait initialement donné son feu vert, se retire finalement. S’ensuit alors une longue série de refus, de plus de 40 studios différents ! Les raisons invoquées sont variées : certains trouvent l’idée du voyage dans le temps démodée, d’autres estiment que le film n’est pas assez audacieux ou qu’il manque de scènes d’action « adultes ».
Mais Bob et Bob ne se découragent pas. Après chaque refus, ils retravaillent leur scénario, convaincus de tenir entre leurs mains une pépite. Pourtant, l’incertitude plane et le doute s’installe : et si le film n’était tout simplement pas bon ? Heureusement, leur ami Steven Spielberg, qui croyait fermement au projet depuis le début, leur redonne espoir.
Le coup de pouce du destin : à la poursuite du diamant vert 💎
Le vent tourne enfin pour Robert Zemeckis en 1984 avec le succès du film À la poursuite du diamant vert. Ce succès au box-office lui ouvre de nouvelles portes, et soudainement, les studios qui avaient refusé Retour vers le futur commencent à changer d’avis. Cependant, fidèle à Spielberg qui l’avait soutenu dès le début, Zemeckis choisit finalement de signer avec Universal Studios et Amblin Entertainment pour la production du film.
Les premiers défis de la pré-production 🚗⚡
Même après avoir trouvé un studio, les obstacles ne manquent pas. Le titre du film, par exemple, fait l’objet de débats houleux. Un des dirigeants d’Universal suggère même de le renommer « L’astronaute de Pluton », une idée qui est heureusement vite abandonnée. Et ce n’est que le début des nombreux ajustements et compromis que Bob et Bob devront faire pour que leur vision prenne vie à l’écran.
Leçon de persévérance : un film intemporel 🌟
L’histoire de la production de Retour vers le futur est une véritable leçon de persévérance. Ce film, devenu un classique du cinéma, aurait pu ne jamais voir le jour sans la détermination et la passion de ses créateurs. Aujourd’hui, il continue d’inspirer des générations de spectateurs avec ses thèmes intemporels, son humour et son intelligence narrative.
À retenir :
- Même les plus grands succès peuvent connaître des débuts difficiles.
- La technique des fiches est un excellent outil pour structurer un scénario.
- Chaque détail compte dans la construction d’une histoire ; rien n’est laissé au hasard.
Et vous, quel est votre film culte qui vous inspire le plus ? 🎥✨
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Décès de Geneviève Grad, inoubliable fille du Gendarme de Saint-Tropez : retour sur une carrière emblématique
Geneviève Grad, connue pour avoir incarné la fille de Louis de Funès dans la saga culte du « Gendarme de Saint-Tropez », est décédée dans la nuit du 7 au 8 novembre 2024. Retour sur la vie et la carrière de cette actrice qui a marqué plusieurs générations.
L’annonce de son décès
L’actrice Geneviève Grad est décédée à l’âge de 80 ans, comme l’a annoncé son mari Jean Guillaume à l’Agence France-Presse (AFP). Elle s’est éteinte à la polyclinique de Blois après un combat courageux contre le cancer.
Geneviève Grad restera dans les mémoires pour son rôle emblématique de Nicole Cruchot, la fille de Ludovic Cruchot, personnage joué par Louis de Funès. Sa performance et la chanson « Douliou Saint-Tropez », interprétée dans le film, ont laissé une empreinte indélébile sur le cinéma français.
De la danse au cinéma : une carrière marquée par la chance
Geneviève Grad était née à Paris en juillet 1944, et elle se destinait initialement à une carrière de danseuse. Cependant, une rencontre fortuite avec des producteurs de cinéma à l’âge de 15 ans a changé le cours de sa vie. Cette opportunité lui a permis d’être remarquée par Michel Boisrond, qui lui a confié un rôle dans le film Un soir sur la plage sorti en 1961.
À partir de là, Geneviève Grad a enchaîné les rôles dans des séries télévisées et des téléfilms. Mais c’est bien sa participation à la saga du Gendarme de Saint-Tropez qui l’a propulsée au rang de vedette.
Nicole Cruchot : un rôle inoubliable
Geneviève Grad est surtout connue pour avoir incarné Nicole Cruchot, la fille du maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot, joué par le légendaire Louis de Funès. Elle apparaît notamment dans :
- Le Gendarme de Saint-Tropez (1964)
- Le Gendarme à New York (1965)
- Le Gendarme se marie (1968)
Son rôle de Nicole Cruchot a marqué toute une génération, non seulement pour son talent mais aussi pour l’énergie et la joie de vivre qu’elle apportait à l’écran.
Une carrière riche mais discrète
En plus de la saga du gendarme, Geneviève Grad a joué dans de nombreux autres films, notamment :
- Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit
- Arsène Lupin contre Arsène Lupin d’Édouard Molinaro
- OSS 117 prend des vacances de Pierre Kalfon
- Voulez-vous un bébé Nobel ? de Robert Pouret
Bien qu’elle ait joué dans des productions de renom, l’actrice a choisi de quitter le monde du cinéma à la fin des années 1980. Elle a ensuite travaillé en tant qu’assistante de production pour la chaîne TF1, restant dans le monde de l’audiovisuel mais loin des projecteurs.
Une vie personnelle marquée par l’amour
Côté vie privée, Geneviève Grad a eu une relation avec Igor Bogdanov dans les années 1970, de laquelle est né leur fils Dimitri en 1976. En 1993, elle a épousé Jean Guillaume, avec qui elle partageait sa vie depuis 11 ans.
Un héritage qui perdure
Geneviève Grad a laissé une marque indélébile sur le cinéma français, en particulier grâce à son rôle dans la saga du gendarme. Sa joie de vivre communicative, son talent et sa présence à l’écran ont fait d’elle une figure aimée et admirée.
Son décès laisse un grand vide, mais ses films continueront à faire rire et émerveiller les spectateurs, perpétuant ainsi l’éclat de cette grande actrice. Geneviève Grad restera toujours l’inoubliable Nicole Cruchot, la fille du gendarme le plus célèbre de France.