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Genève, Lausanne et le canton de Neuchâtel ont emprunté des millions à la FIFA

Les villes de Genève, de Lausanne ainsi que le canton de Neuchâtel ont emprunté de l’argent à la FIFA, au moins depuis 2018, pour des montants entre 30 et 150 millions de francs, a appris la RTS. Ces emprunts interpellent, d’autant qu’ils sont parfois le fait de gouvernements à majorité rose-verte, un camp politique plutôt critique vis-à-vis de la FIFA.
Mi-janvier, une enquête des journaux de Tamedia révélait que la Ville de Berne, en difficultés financières, avait emprunté à plusieurs reprises de l’argent à la Fédération internationale de football (FIFA).
C’est grâce à une plateforme financière en ligne, la startup Loanboox basée à Zurich, que ces transactions ont été effectuées.
fcb
Benfica 1-0 Bayern : une claque chaude et historique à la Coupe du monde des clubs sous 36 degrés

Benfica punit le Bayern : la leçon tactique d’un soir brûlant à Charlotte 🔥
Le Bayern Munich tombe face à un Benfica réaliste et perd sa première place dans le groupe C de la Coupe du monde des clubs. Une défaite au goût amer pour les Bavarois, sur fond de chaleur accablante et d’erreurs collectives. Pour les Lisboètes, c’est un exploit historique. Retour sur une soirée où les Portugais ont fait danser le Rekordmeister sous 36 degrés.
Une entame bavaroise… à contre-temps 🕰️
C’est bien connu : en football, les premières minutes donnent souvent le ton. Et ce mercredi soir à Charlotte, les Munichois n’étaient clairement pas « im Spiel » — en rythme.
- Andreas Schjelderup, esseulé au point de penalty dès la 11e minute, reprend une passe lumineuse de Fredrik Aursnes sans opposition.
- Di María sonnait la charge avec une frappe repoussée par Neuer (9e).
- Angelos Pavlidis slalome entre Upamecano et Stanisic avant de perdre le ballon (18e).
Le Bayern semblait assommé, incapable de répondre à l’intensité portugaise. Une expression : „zu spät dran“ — trop lent à la réaction. ❌
Sous le soleil de Charlotte : des conditions dignes du désert 🌞🌡️
Quand on vous dit qu’il faisait chaud, ce n’est pas une figure de style. 36 degrés à l’ombre, avec une pelouse sèche et capricieuse. „Unmenschliche Bedingungen“ — des conditions inhumaines.
- Sept changements par rapport au match contre Boca Juniors.
- Des cadres comme Kimmich, Musiala, Kane laissés au repos.
- Tom Bischof, titularisé, en difficulté.
Benfica, au contraire, a su tirer parti du climat et de la passivité adverse.
Boey endormi, Sané malchanceux : des erreurs à la chaîne 😓
- Sacha Boey mal positionné sur le but portugais.
- Leroy Sané multiplie les occasions manquées (44e, 51e, 87e).
- But refusé à Kimmich pour hors-jeu de Kane.
„Pech im Abschluss“ — de la malchance à la finition.
Le réveil bavarois… trop tardif ⏱️
Le vrai FC Bayern est revenu des vestiaires. Kompany injecte de l’expérience :
- Kimmich régule le jeu.
- Kane et Olise apportent du rythme.
- Les occasions se multiplient, sans succès.
Neuer lucide, Kompany amer 😔
« La première mi-temps, ce n’était pas nous. La seconde, si. » – Manuel Neuer
« En seconde période, on a tout donné. Mais si tu ne marques pas, tu le paies. » – Vincent Kompany
„Wenn du die Chancen nicht nutzt, wirst du bestraft.“ — Si tu ne profites pas de tes occasions, tu es puni.
Une première historique pour Benfica 🏆🇵🇹
- 1re victoire de Benfica face au Bayern (14e match).
- 1re place du groupe assurée.
- Plan de jeu parfaitement exécuté par Bruno Lage.
Flamengo, l’obstacle carioca sur la route munichoise 🌴⚽
Flamengo attend le Bayern en huitièmes. Match prévu à Miami Gardens. En cas de succès, possible affrontement avec le PSG ou l’Inter Miami de Messi.
Leçon tactique et mentale : ce que le Bayern doit retenir 🧠⚙️
- Jouer deux mi-temps pleines : une nécessité.
- Renforcer les automatismes défensifs.
- Repenser l’intégration des jeunes.
- Faire revivre la « Mia San Mia »-Mentalität.
Conclusion : un avertissement sans frais… ou presque 💣
Le Bayern est qualifié, mais devra réagir. Cette défaite pourrait bien être le signal d’alarme pour relancer une machine enrayée. Face à Flamengo puis peut-être Messi, il n’y aura pas de deuxième chance.
„Du wirst nicht zweimal gewarnt.“ — Tu ne seras pas prévenu deux fois.
fcb
Chaleur, pression et ambition : les vérités de Kompany avant Benfica

Un Bayern en mission sous la chaleur : les confidences de Vincent Kompany 🔥
Thomas Müller : entre légende vivante et fin de cycle ? 🐐
Thomas Müller est-il toujours un titulaire en puissance ou vit-il ses dernières heures en rouge ? Kompany reste fidèle à sa ligne :
« Je ne parle pas de minutes. Ce qui compte, c’est le collectif. »
💬 En allemand : « Das Kollektiv steht über dem Einzelnen » – le collectif est au-dessus de l’individu.
La chaleur comme adversaire supplémentaire 🌡️☀️
- Matchs à 15h très exigeants physiquement
- Conditions identiques pour les deux équipes
- Adaptations prévues par le Bayern
Benfica, un adversaire caméléon 🦅⚔️
Benfica est décrit comme une équipe :
- Dominante dans son championnat
- Capable de s’adapter selon l’adversaire
- Dotée de joueurs « tueurs » dans les derniers mètres
💡 Terme tactique allemand : Umschaltspiel – jeu de transition.
Europe vs Amérique du Sud : deux mentalités face au même trophée 🌎⚽️
En Amérique du Sud, le tournoi est vécu avec passion.
En Europe, il est parfois relégué au second plan.
Mais selon Kompany : « Chaque match compte, surtout quand les émotions prennent le dessus. »
Que manque-t-il au Bayern pour tout gagner ? 🏆
- Qualité indéniable
- Présence des joueurs dans les grands moments
- Maintien du rythme sur la durée
Bayern – Benfica : le souvenir du duel européen 🧠🛡️
Benfica compact en 5-3-2, transitions rapides.
Le Bayern dominant, mais pas toujours efficace.
Le “Bayern-Mentalität” : gagner ne suffit pas 💼💪
💬 « Même quand tu gagnes, on t’en demande plus. »
- Travail acharné
- Volonté constante d’amélioration
- Pression quotidienne
Une touche personnelle : les retrouvailles avec Otamendi 👬
⚽ Des souvenirs forts partagés avec Otamendi, faits de combat, d’émotion et de respect.
Nouveaux visages, nouvelles dynamiques 👶🔥
Jonathan Tah : un futur leader. Le tournoi est une rampe de lancement.
Entraînements intenses et équilibre humain 🏋️♂️🧘♂️
- Maintien de l’intensité malgré la chaleur
- Prévention du « cabin fever »
- Climat de confiance et autonomie
Tournoi contesté, expérience appréciée 🏟️🌍
Exposition à d’autres styles, cohésion renforcée, intégration rapide des jeunes. Pré-saison sacrifiée, mais expérience unique.
Neuer ou Schreiber ? Aucun doute pour Kompany 🧤🧱
Si Manuel Neuer est apte, il joue.
Jonas Schreiber se forme pour l’avenir.
Des rumeurs en fin de saison, mais un staff stable 🔐
Stabilité et concentration. Le reste ? « De la spéculation. »
Conclusion : le Bayern avance, uni et ambitieux 🚀🔴
Le collectif prime. L’ambition est intacte. Et avec Kompany à la barre, le Bayern vise toujours plus haut.
💬 « Der FC Bayern spielt nicht nur mit dem Ball – er spielt mit Herz. »
Le Bayern ne joue pas seulement avec le ballon – il joue avec le cœur ❤️.
fcb
Le Bayern fait plier Boca à Miami [2-1] : Olise et Kane en mode patron !

Sous le soleil de Miami, le FC Bayern a livré une prestation solide face aux Argentins de Boca Juniors, s’imposant 2-1 dans un match rythmé et engagé. Emmenés par un Harry Kane décisif et un Michael Olise flamboyant, les hommes de Vincent Kompany ont su faire la différence dans les moments clés pour décrocher leur place en quarts de finale de la Coupe du Monde des Clubs. Retour sur une soirée où la rigueur allemande a parlé face à la passion sud-américaine.
Le Bayern s’impose avec autorité face à Boca Juniors à Miami 🔴⚽🌴
Dans une ambiance chaude et festive à Miami, le FC Bayern Munich a tenu son rang avec une victoire convaincante 2-1 contre Boca Juniors lors des huitièmes de finale de la Coupe du Monde des Clubs. Si les Bavarois ont dominé la rencontre, les Argentins ont su leur poser des problèmes. Retour complet sur cette confrontation intense où le Bayern a encore prouvé sa solidité et sa profondeur d’effectif.
Une entame bavaroise pleine de contrôle et de détermination 🧠🔥
Dès le coup d’envoi, les intentions allemandes étaient limpides : imposer le tempo, dicter le rythme, étouffer l’adversaire.
Le Bayern, fidèle à ses principes, a mis une pression constante sur la défense de Boca. Résultat :
- Une possession écrasante dès les premières minutes (72,2 %).
- Des circuits de passes bien huilés, surtout sur les côtés.
- Un pressing à la perte redoutablement efficace.
Kingsley Coman et Michael Olise ont multiplié les débordements, tandis que Kane s’est positionné en véritable chef d’orchestre offensif. Boca, replié dans ses 30 mètres, ne faisait que subir.
Harry Kane, l’arme fatale des Munichois 💥🎯
Il n’a pas fallu attendre longtemps pour voir le tableau d’affichage s’animer. À la 18e minute, Harry Kane a encore démontré pourquoi il est l’un des buteurs les plus redoutables du moment.
Sur un centre de Laimer mal dégagé par Battaglia, le ballon revient dans les pieds du buteur anglais, qui ne se fait pas prier :
Contrôle express, frappe ras du sol au premier poteau. Marchesín est battu.
Un but tout en efficacité, typique de Kane. Et une célébration pleine de puissance, bras tendus vers le ciel de Floride. 1-0 pour le Bayern, tout sauf immérité.
Un Bayern dominateur mais imprécis dans la finition 🤏😤
La suite de la première période est restée à sens unique, avec un Bayern clairement au-dessus techniquement et physiquement. Plusieurs occasions franches auraient pu tuer le match :
- À la 20e, Coman rate l’immanquable à bout portant après un centre tendu de Gnabry.
- Olise se retrouve seul face au gardien, mais Marchesín parvient à lui chiper le ballon dans les pieds.
- Kane frôle la barre sur un coup franc juste avant la pause.
Malgré ce déferlement offensif, le score reste bloqué à 1-0 à la mi-temps, ce qui ne reflète pas vraiment la physionomie d’un match dominé par les Allemands.
Boca Juniors revient des vestiaires avec un autre visage 🧊➡️🔥
La deuxième période débute avec un changement notable d’attitude chez les Argentins. Boca Juniors, jusque-là timide, décide enfin de jouer.
Les conséquences sont immédiates :
- Les duels deviennent plus rugueux.
- Boca joue plus haut et gêne la relance allemande.
- Les premières frappes adverses se font sentir.
Et à la 66e minute, sur une perte de balle malvenue des Bavarois dans l’axe, tout s’accélère. Marchesín lance Miguel Merentiel, qui efface deux défenseurs et ajuste Manuel Neuer. 1-1, contre le cours du jeu, mais bien réel.
Le doute s’installe brièvement côté Bayern.
L’entrée d’Olise change la donne ⚡🪄
Alors que le match semble s’enliser, le banc du Bayern fait la différence. Entré en jeu quelques minutes plus tôt, Michael Olise va signer une action décisive à la 84e minute.
Voici comment le but du 2-1 s’est construit :
- Olise démarre l’action côté droit.
- Petite combinaison avec Kane dans la surface.
- Frappe croisée parfaite du pied gauche dans le petit filet.
C’est une réalisation digne d’un joueur de très haut niveau, aussi bien dans le geste que dans la lucidité. Et surtout, elle vient remettre le Bayern dans le sens de la marche.
Une gestion du score à l’allemande 🔒⌛
Une fois l’avantage repris, le Bayern a parfaitement verrouillé la fin de rencontre. Dans les dix dernières minutes (et les neuf de temps additionnel), la machine munichoise a été implacable.
Quelques statistiques édifiantes :
- 87 % de possession sur le dernier quart d’heure.
- Aucun tir concédé après le but du 2-1.
- Boca Juniors privé de ballon, et donc de réaction.
La seule frayeur vient d’un coup franc d’Olise mal ajusté dans les dernières secondes, mais qui ne trouve pas le cadre.
Le coup de sifflet final vient sanctionner la performance : le Bayern est qualifié pour les quarts, avec maîtrise et caractère.
Le coaching de Kompany fait la différence 🧠🧩
Ce match est aussi une victoire du banc et du management. Vincent Kompany, tout récemment arrivé sur le banc bavarois, a su adapter ses choix avec beaucoup d’intelligence et de timing :
- Sané remplace Coman et redonne de la vitesse à gauche.
- Olise entre pour dynamiter l’axe et inscrit le but de la victoire.
- Upamecano et Müller apportent de la solidité et de l’expérience dans les moments clés.
Des changements efficaces et parfaitement synchronisés avec le tempo du match. Le Bayern a démontré qu’il possède un effectif riche et complémentaire.
Les stats du match 📊📌
Catégorie | Bayern Munich | Boca Juniors |
---|---|---|
Possession | 65 % | 35 % |
Tirs | 13 | 4 |
Passes réussies | 625 | 290 |
Fautes | 14 | 19 |
Corners | 6 | 2 |
Arrêts du gardien | 1 | 6 |
Des chiffres qui confirment la mainmise bavaroise sur la rencontre, malgré le score serré.
Les joueurs clés : tops et déceptions ⭐⛔
⭐ Les grands bonhommes du soir :
- Harry Kane : Un but, une passe, et toujours aussi précieux dans la construction.
- Michael Olise : Entrée fracassante, but décisif, énorme talent.
- Joshua Kimmich : Patron silencieux au milieu, toujours bien placé.
❌ Les déceptions :
- La défense sur le but encaissé : Trop passive, manque d’agressivité.
- Jamal Musiala, blessé à la 83e minute, n’a pas pu vraiment s’exprimer.
- Gnabry, volontaire mais trop brouillon dans les derniers gestes.
Un Bayern sérieux, mais encore perfectible 🧱🏗️
Cette victoire est riche d’enseignements pour le staff bavarois. Oui, l’équipe a dominé. Oui, elle a montré une force mentale importante. Mais tout n’est pas encore parfait :
- Trop d’occasions manquées.
- Une concentration défensive parfois relâchée.
- Une efficacité offensive à améliorer pour tuer les matchs plus tôt.
Mais l’essentiel est là : la qualification. Le Bayern monte en puissance, et les prochains adversaires sont prévenus.
En route vers les quarts de finale 🚀🔜
Le FC Bayern poursuit son aventure dans ce tournoi mondial avec la manière et l’ambition d’aller au bout. Prochaine étape : les quarts, où l’attendent peut-être d’autres cadors européens ou sud-américains.
Avec des joueurs en forme, un banc performant et une dynamique retrouvée, les hommes de Vincent Kompany ont toutes les armes pour rêver plus grand.
Le rendez-vous est pris. Et si le Bayern veut soulever la Coupe, il devra encore élever son niveau… mais cette équipe-là en a largement les moyens. 💪🏆