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Étape 1 : Bisha > Bisha : s’adapter à tous les terrains 🏁 – Dakar 2025

Étape 1 : Bisha > Bisha : s’adapter à tous les terrains 🏁

La première vraie étape emmène les participants à explorer une diversité de terrains qui mettront à l’épreuve leur capacité d’adaptation. S’ils ne rencontreront pas encore de sable, les compétiteurs devront affronter des surfaces variées, allant de pistes rocailleuses à des zones plus rapides, exigeant des ajustements constants dans leur manière de piloter.

Les points clés de l’étape :

  • Des portions techniques avec des gros cailloux qui demandent une vigilance accrue.
  • Des croisements de pistes qui mettent à rude épreuve les navigateurs, confrontés à une multitude de choix.
  • Une nécessité de garder sang-froid et concentration pour ne pas perdre de temps précieux.

La navigation devient un art à part entière : chaque décision compte, et une erreur peut coûter cher. Cette journée, marquée par des changements d’allure incessants, révèle la complexité du rallye-raid et impose un rythme effréné.


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2e étape du Dakar 2025 [1ère partie] : entre exploits et déceptions, al-Attiyah et Sanders s’imposent

Le Dakar 2025, épreuve mythique du rallye-raid, a offert une 2e étape riche en rebondissements et en performances remarquables. Entre les difficultés rencontrées par des favoris tels que Carlos Sainz et Sébastien Loeb, et les prouesses de Yazeed al-Rajhi en autos ou de Daniel Sanders en motos, cette journée a confirmé que tout peut arriver dans ce désert impitoyable.


Une bataille intense en autos : al-Rajhi prend la tête ✨

La 2e étape du Dakar, disputée sur deux jours autour de Bisha, a vu une lutte acharnée entre les pilotes automobiles. Si le samedi avait été marqué par une certaine prudence, le dimanche a révélé un changement de ton.

Des départs fulgurants
Dès les premières minutes, Guillaume De Mevius, au volant de sa Mini, a pris les commandes avec une agressivité remarquée. Il était suivi de près par Carlos Sainz, le tenant du titre, qui découvrait sa nouvelle monture, une Ford flambant neuve. Mais la véritable montée en puissance est venue de Nasser al-Attiyah. Pilote de talent sur sa Dacia, l’émirati a adopté un rythme effréné, laissant même son coéquipier français, Sébastien Loeb, derrière lui.

Des épreuves pour les favoris
Cependant, ce rythme effréné a coûté cher à certains grands noms.

  • Carlos Sainz, quadruple vainqueur de l’épreuve, a connu une énorme désillusion. Une faute de pilotage l’a envoyé sur le toit. Conséquence : une vingtaine de minutes perdues à réparer, sans compter une heure supplémentaire au classement.
  • Sébastien Loeb, lui aussi favori, a été victime d’une série de contretemps. Bloqué dans les dunes pendant quinze minutes, il a dû compter sur l’aide de son équipière Cristina Gutierrez. Plus tard, des problèmes électriques l’ont à nouveau immobilisé, le reléguant à plus de 30 minutes du leader.

Le leadership d’al-Rajhi
Devant, Yazeed al-Rajhi a su tirer profit de ces péripéties. Sur sa Toyota, le Saoudien a adopté un rythme parfait, alternant vitesse et gestion, pour finir la journée en tête avec une avance d’une minute sur al-Attiyah. À bord de sa Dacia, l’émirati n’a rencontré aucun souci technique, une rareté dans ce type d’épreuve.


Daniel Sanders, le roi des motos 🏍️

Côté motos, l’Australien Daniel Sanders confirme son statut de favori indétrônable. Pilote KTM, il a enchaîné les performances impressionnantes depuis le début du rallye.

Un départ tonitruant
Après avoir remporté le prologue vendredi et la première étape samedi, Sanders a continué de dominer dimanche. Même si Ricky Brabec lui a opposé une résistance tenace tout au long de la journée, l’Australien a maintenu son calme et sa vitesse.

Un classement provisoire solide
À la fin de la journée, Sanders possédait une avance confortable de plus de deux minutes sur ses poursuivants, Brabec et Ross Branch. Avec une KTM performante et une stratégie parfaite, il semble décidé à ne laisser aucune chance à ses concurrents.


Un format unique pour la 2e étape : Bisha-Bisha 🏞️

Cette 2e étape du Dakar 2025 présentait un format original, disputé sur deux jours avec une pause imposée à 17 heures. Plus de 600 km ont été parcourus dimanche, soit une grande partie des 1000 km totaux de cette étape.

Les particularités de la pause bivouac

  • Chaque équipage s’est arrêté à des zones désignées appelées « break zones ».
  • Les concurrents ont été regroupés, favorisant un repos bien mérité pour eux comme pour leurs machines.

Le départ de lundi : une alternance inédite
Le lundi matin, le départ sera donné de manière alternée toutes les 30 secondes. Une moto suivie d’une auto, dans un ordre précis à partir de 7 heures. Cette approche devrait ajouter une touche supplémentaire de stratégie et de spectacle.


Le Dakar 2025 : une épreuve où tout peut arriver 🎨

Cette journée de course a une fois de plus montré que le Dakar reste une compétition à la fois exigeante et imprévisible. Les performances des leaders comme al-Attiyah et Sanders soulignent leur maîtrise, tandis que les difficultés rencontrées par Sainz et Loeb rappellent que rien n’est jamais joué.

Avec encore plusieurs étapes à parcourir, la route vers la victoire promet d’être pleine de surprises. Les passionnés de sport automobile et moto peuvent s’attendre à encore plus de rebondissements dans les jours à venir. 🏁

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🏍️ Dakar 2025 : une première étape pleine de rebondissements 🚗

Le Dakar 2025 a démarré sur les chapeaux de roues, et cette première étape a été riche en surprises, en exploits et en stratégies. Entre les performances remarquables de certains pilotes et les mésaventures d’autres, revenons en détail sur les moments forts de cette journée. Préparez-vous, car l’aventure ne fait que commencer !


🎉 Guerlain Chicherit brille sur cette première étape

Guerlain Chicherit a marqué l’histoire de cette première journée en remportant sa huitième victoire d’étape sur le Dakar. Après une attente pour l’officialisation de son temps, le pilote français et son coéquipier Winocq, au volant de leur Mini, ont devancé leurs concurrents directs.

Les faits marquants de la victoire :

  • Temps officiel : 4h35’53.
  • Écart avec le deuxième : 50 secondes devant Seth Quintero (Toyota).
  • Classement général : Une performance qui inscrit Chicherit parmi les favoris.

🏁 Mini renoue avec la victoire : Cette victoire met fin à une disette pour Mini, qui n’avait pas remporté d’étape depuis 2021. Une belle manière de débuter ce 47e Dakar !


🚨 Problèmes techniques et stratégies audacieuses

Cette première étape n’a pas été sans défis techniques ni décisions stratégiques. Plusieurs pilotes ont opté pour une gestion prudente afin d’aborder la prochaine étape avec un avantage.

💻 Défis techniques :

  • Problèmes de navigation : Les pilotes ont rapporté des dysfonctionnements sur leurs tablettes.
  • Sentinelle défaillante : Le dispositif d’alerte pour les motards n’a pas fonctionné correctement, compliquant la cohabitation sur la piste.

🧠 Stratégies des favoris :

  • Sébastien Loeb a volontairement ralenti pour ne pas ouvrir la route lors de l’étape 48h chrono. « Le but n’était pas de faire le meilleur temps, » a-t-il déclaré à l’arrivée.
  • Carlos Sainz et Loeb ont terminé loin dans le classement, une décision calculée pour maximiser leurs chances lors de l’étape suivante.

👉 Une gestion stratégique qui pourrait s’avérer payante, alors que les favoris ont préféré perdre du temps pour mieux se positionner dans les jours à venir.


📊 Classements de l’étape auto et moto

🚗 Top 10 auto (catégorie Ultimate)

  1. Chicherit/Winocq (Mini) – 4h35’53
  2. Quintero/Zenz (Toyota) – à +0’50
  3. Variawa/Cazalet (Toyota) – à +1’03
  4. Prokyop/Chytka (Ford) – à +1’04
  5. Gutirrez/Moreno (Dacia) – à +1’28
  6. Ferreira/Palmeiro (Mini) – à +1’53
  7. Sainz/Cruz (Ford) – à +2’32
  8. Moraes/Monleon (Toyota) – à +2’33
  9. Price/Sunderland (Overdrive) – à +3’13
  10. Lategan/Cummings (Toyota) – à +3’27

🏍️ Top 10 moto (catégorie GP)

  1. Sanders (KTM) – 4h58’18
  2. Brabec (Honda) – à +2’22
  3. Branch (Hero) – à +2’38
  4. Howes (Honda) – à +4’59
  5. Schareina (Honda) – à +5’07
  6. L. Benavides (KTM) – à +10’42
  7. Quintanilla (Honda) – à +11’33
  8. Van Beveren (Honda) – à +15’25
  9. Cornejo (Hero) – à +20’48
  10. Cox (KTM) – à +26’59

📈 Ces classements montrent des écarts serrés et annoncent une compétition acharnée dans les étapes à venir.


🌟 Daniel Sanders domine en moto

Du côté des deux-roues, Daniel Sanders a une fois de plus prouvé son talent, terminant en tête de cette première étape. Ce succès consolide sa position parmi les grands favoris de cette édition.

Les points marquants :

  • Performance impressionnante : Sanders s’est montré inarrêtable, avec un rythme soutenu tout au long de l’étape.
  • Une journée difficile pour ses concurrents : Le Français Adrien Van Beveren a connu une chute sans gravité mais qui l’a fait perdre du temps précieux.

🏍️ Le suspense reste entier dans cette catégorie, avec des écarts encore rattrapables et une compétition toujours aussi intense.


🌵 Étape 48h chrono : le défi ultime

La prochaine étape promet d’être l’un des moments décisifs de ce Dakar 2025. Avec plus de 900 kilomètres de spéciale répartis sur deux jours, elle mettra à l’épreuve les nerfs et les compétences des pilotes.

Les enjeux de l’étape :

  • Endurance et stratégie : Cette étape marquera un tournant dans le classement général. Les favoris devront gérer leur effort tout en évitant les erreurs.
  • Conditions difficiles : Un terrain exigeant et des conditions climatiques imprévisibles pourraient venir compliquer la tâche des pilotes.

🔮 Tous les regards seront tournés vers les favoris, qui auront l’occasion de dévoiler leur plein potentiel lors de cette étape charnière.


💬 Témoignages des pilotes

🎙️ Guillaume De Mevius : « C’était une bonne mise en jambes »

Le pilote belge a partagé son expérience : « On a eu des problèmes de navigation et une tablette est tombée en panne. Mais c’était une bonne spéciale, assez technique. »

🎙️ Sébastien Loeb : « Nous avons choisi de ralentir »

Loeb a expliqué sa stratégie : « Tout le monde a joué le même jeu. Nous devons attendre et voir notre position exacte au classement. »

👉 Ces témoignages illustrent bien la complexité et les multiples facettes du Dakar, entre défis mécaniques, physiques et stratégiques.


🚨 Incidents notables

  • Accident de Laia Sanz : Victime d’un accident au kilomètre 330, elle a choisi de ne pas solliciter l’aide de son assistance, montrant sa résilience malgré un retard conséquent.
  • Problème de GPS pour Loeb : Un problème technique a retardé l’enregistrement de son chrono, ajoutant du suspense à cette première journée.

Ces incidents rappellent que le Dakar est une épreuve aussi exigeante que périlleuse.


🔥 En route pour les prochaines étapes !

Avec cette première étape intense, le ton est donné pour le reste de ce Dakar 2025. Les pilotes devront combiner stratégie, performance et résilience pour espérer s’imposer.

🌟 Restez connectés pour suivre les prochaines étapes ! Nous vous tiendrons informés des exploits, des classements et des anecdotes qui rendent cette compétition unique.

👉 Et vous, quel est votre favori pour cette édition ? Partagez vos pronostics dans les commentaires ! ✍️

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Les Dacia Sandriders : prêts à conquérir le Rallye Dakar 2025

Un premier rallye plein de promesses ⚡

Le Rallye du Maroc : un premier pas crucial

Le Rallye du Maroc marquait une étape essentielle pour les Dacia Sandriders. Ce premier rallye a été vécu avec une mélange d’émotions : un soupçon d’appréhension, beaucoup d’excitation et une bonne dose de fatigue. Mais au cœur de tout cela, une immense motivation. C’est le début concret d’un rêve : préparer le Rallye Dakar 2025 et viser le titre mondial.

Dès la première spéciale, les Sandriders ont frappé fort, en remportant une victoire surprenante. Un résultat qui a suscité une grande fierté au sein de l’équipe. Mais rapidement, la réalité du rallye a repris le dessus avec les premiers problèmes techniques et des décisions stratégiques complexes. Le rallye, c’est une véritable montagne russe : un jour on gagne, un jour on apprend.



Les défis techniques : une leçon quotidienne ⚖️

Quand la mécanique dicte le rythme

Les problèmes techniques n’ont pas tardé à apparaître, mettant l’équipe face à des défis imprévus. Par exemple, le compresseur de climatisation a lâché, nécessitant une intervention rapide pour permettre à la voiture de poursuivre la course. Chaque panne est une opportunité d’apprendre et de réagir, mais aussi une source de frustration pour les pilotes.

Christina, l’une des pilotes, a exprimé son ressenti : « C’est frustrant parce que je me sens bien dans la voiture, mais les pannes me stoppent net. » Cependant, cette frustration est aussi une motivation : elle sait qu’elle a les capacités pour briller.


Une équipe soudée autour d’un objectif commun 💪

L’importance du travail d’équipe

Les Dacia Sandriders peuvent compter sur une équipe technique exceptionnelle. Avec trois voitures alignées, les mécaniciens et ingénieurs ont déployé des efforts colossaux pour garantir que chaque détail soit pris en compte. À la fin de chaque journée, un débriefing collectif permet d’ajuster les stratégies et d’optimiser les performances.

Le directeur technique, PH Denvin, a expliqué comment la modélisation 3D joue un rôle crucial dans la conception de la voiture. Cela permet de prévoir les mouvements et les contraintes, tout en évitant les erreurs coûteuses avant la phase de fabrication.

Les avantages et inconvénients d’une voiture compacte

La voiture Dacia se distingue par sa compacité, un atout pour la maniabilité dans les terrains difficiles. Cependant, cette conception complique l’accès aux composants pour les mécaniciens, augmentant leur charge de travail chaque soir.


Les pilotes : le cœur battant de l’équipe 🏎️

Un duo de champions

L’équipe compte sur deux pilotes emblématiques : Sébastien et Nasser. Leur expérience et leur compétence sont des atouts majeurs pour l’équipe. Leur collaboration est essentielle pour développer la voiture et affiner les stratégies de course.

Christina, la troisième pilote, apporte une énergie nouvelle. Elle bénéficie des conseils de ses coéquipiers pour s’adapter rapidement à l’environnement exigeant du rallye.


La route vers le Dakar 2025 : une course contre la montre ⏳

Des tests intensifs pour préparer le désert

Avant le grand départ, les Sandriders multiplient les tests dans des conditions variées. Chaque kilomètre parcouru permet d’ajuster les réglages et de fiabiliser la voiture. Les tests au Maroc, dans des conditions proches de celles du Dakar, sont cruciaux pour garantir les performances de la voiture dans le désert.

Les conditions extrêmes, comme la chaleur intense, mettent à rude épreuve les composants mécaniques. L’équipe a dû apporter des modifications pour résoudre les problèmes de surchauffe, notamment en ajoutant des isolants et en ouvrant des orifices dans la carrosserie.


Une aventure humaine avant tout 🏞️

Les liens au sein de l’équipe

Le rallye est avant tout une aventure humaine. Les membres de l’équipe, issus de cultures et d’horizons divers, travaillent main dans la main pour atteindre un objectif commun. Cette diversité est une richesse qui renforce la cohésion et l’efficacité de l’équipe.

Pour Tiffanie, team principal, son rôle consiste à mettre tout le monde en situation de réussite. Elle n’hésite pas à confronter l’équipe à des scénarios complexes pour les préparer aux imprévus du rallye.


Le Rallye du Maroc : un résultat encourageant 🏆

Malgré les défis, les Sandriders ont brillé au Maroc. Avec deux voitures sur le podium et une quatrième place prometteuse, l’équipe a prouvé que la voiture est fiable et performante. Ce succès est le fruit d’un travail acharné et d’une stratégie minutieuse.

Cependant, l’équipe reste lucide. Le Rallye du Maroc n’était qu’une étape et de nombreux ajustements sont encore nécessaires avant le Dakar. La route est encore longue, mais la motivation est intacte.


Conclusion : cap sur le Dakar 2025 🌍

L’aventure des Dacia Sandriders est bien plus qu’un projet sportif. C’est une histoire de dépassement de soi, de travail d’équipe et de résilience face aux défis. Chaque étape rapproche l’équipe de son objectif ultime : briller au Rallye Dakar 2025.

Avec une équipe déterminée, des pilotes talentueux et une voiture prometteuse, les Sandriders ont tous les atouts pour marquer l’histoire du rallye. L’horizon s’annonce passionnant, et une chose est certaine : l’équipe est prête à relever tous les défis qui se dresseront sur son chemin. 🏁🏍️

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Henk Lategan (Toyota) s’impose au prologue du Dakar 2025, Sébastien Loeb (Dacia) sixième

Le prologue du Dakar 2025 a donné le coup d’envoi d’une nouvelle édition passionnante de cette mythique compétition. Retour sur les moments clés de cette journée d’ouverture et les enjeux pour la suite.

Une première épreuve pour déterminer les ordres de départ

Le prologue, un court parcours de 29 km tracé autour de Bisha, avait pour unique objectif de déterminer les ordres de départ de la première étape de samedi. Cette mise en jambes, bien que sans incidence sur le classement général, a permis aux équipages de se familiariser avec le terrain et de régler les derniers détails techniques.

Après plusieurs jours à attendre dans le bivouac, les pilotes étaient impatients de se lancer. Pour eux, ce prologue représente une première opportunité de tester leur vitesse et leur préparation mentale dans des conditions réelles. Comme le disait Sébastien Loeb à l’arrivée : « On est venu pour faire la course donc autant que ça commence. »

La performance remarquée de Henk Lategan

Henk Lategan, pilote Toyota, a créé la surprise en remportant ce prologue. ✨ Le Sud-Africain, connu pour sa pointe de vitesse, a su tirer parti de ce tracé rapide pour prendre la première place, devancé d’une seconde seulement le pilote Ford Matias Ekström, vainqueur du prologue l’an dernier.

Lategan, qui avait jusqu’à présent alterné entre des performances impressionnantes et des déceptions sur le Dakar, semble avoir trouvé la bonne formule. À la cinquième place du classement général l’an dernier, il affiche des ambitions réelles pour cette édition 2025.

Sébastien Loeb : une mise en jambes solide

Avec une sixième place au prologue, Sébastien Loeb, au volant de sa Dacia, a débuté ce Dakar avec prudence. Ce choix semble stratégique : le prologue ne comptant pas pour le classement général, mieux valait ne pas prendre de risques inutiles. Loeb s’est contenté de s’assurer une bonne position pour le départ de la première étape.

Ce départ mesuré s’inscrit dans une approche globale pour maximiser ses chances sur les 413 km contre le chrono de samedi, une distance bien plus exigeante qui mettra à rude épreuve les machines et les équipages.

Un podium diversifié

Nasser Al-Attiyah, quintuple vainqueur du Dakar, a complété le podium du prologue. L’équipier de Loeb chez Dacia a livré une performance solide malgré les difficultés liées à l’ordre de passage. Il s’est félicité de sa prestation : « Le tracé était super rapide et ce n’était pas évident d’être premiers sur la route mais on s’en est bien sorti. »

Le fait que le podium du prologue soit composé de trois marques différentes (Toyota, Ford et Dacia) témoigne de la compétition accrue cette année. Ce mélange promet des étapes passionnantes avec de nombreux rebondissements.

Les écueils évités par la plupart des favoris

Aucun incident majeur n’a été signalé parmi les favoris, à l’exception de la crevaison de Guillaume de Mevius. Le pilote belge, qui avait terminé dauphin de Carlos Sainz l’an dernier, a dû se contenter d’une position bien en dehors du top 50 lors de ce prologue. Heureusement, cet incident mineur n’aura pas d’impact sur son classement général.

Cette absence de gros problèmes est une bonne nouvelle pour les équipages qui pourront attaquer la première étape de samedi avec des voitures en bon état. Toutefois, la véritable épreuve commencera lorsque les 48 heures chrono entreront en jeu, un format qui mettra à rude épreuve la résistance physique et mécanique.

Les perspectives pour les jours à venir

La première étape, longue de 413 km, marquera le véritable début de la compétition. Les équipages devront s’adapter rapidement à un rythme soutenu, avec des terrains variés et des stratégies différenciées pour les pilotes et leurs équipes.

Les moments clés à surveiller pour la suite incluent :

  • Les performances des favoris, tels que Sébastien Loeb, Nasser Al-Attiyah et Carlos Sainz.
  • La résilience des outsiders, comme Henk Lategan ou Matias Ekström.
  • La gestion des épreuves marathon, notamment les 48 heures chrono qui suivront la première étape.

Conclusion

🏆 Le prologue du Dakar 2025 a déjà donné le ton : une compétition intense, des surprises et des enjeux colossaux pour tous les participants. Avec une première étape exigeante au programme et des favoris prêts à en découdre, les prochains jours promettent un spectacle grandiose pour les amateurs de rallye.

Rendez-vous samedi pour suivre les développements de cette 47ème édition du Dakar et vivre ensemble cette aventure unique au cœur des déserts saoudiens ! 🌬️

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Prologue : Bisha > Bisha : l’appel du chronomètre ⏱ – Dakar 2025

Prologue : Bisha > Bisha : l’appel du chronomètre ⏱

L’exercice de pur pilotage s’ouvre avec le prologue, un avant-goût qui annonce la couleur de la compétition. Les moteurs rugissent sur un terrain dur, alternant grandes pistes de terre et passages techniques sur graviers. Les trajectoires deviennent alors une question de précision absolue. À ce stade, chaque seconde compte, et les leaders de ce premier classement jouent gros : les dix plus rapides parmi les engagés FIM et FIA ont le privilège de choisir leur position dans l’ordre de départ du lendemain.

Un enjeu stratégique décisif s’impose donc dès les premiers tours de roues, mettant les compétiteurs face à une question cruciale : attaquer pour s’imposer ou jouer la prudence et observer ? ✈️


 

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